Répulsifs anti-souris : ce qui marche en 2025

DEVIS GRATUIT
& IMMEDIAT

par Solution Nuisible | 1 Juil 2025

Les traces sont là. Fines, presque discrètes. Et pourtant, quelque chose rôde. On ferme la porte, on vérifie les plinthes, on tend l’oreille. Rien. Juste ce doute qui s’installe. Une présence invisible, un bruit sourd sous les meubles, parfois même… une odeur. Alors on cherche. Une solution simple. Rapide. Sans danger.

Mais entre les promesses de fioles miracles, les appareils qu’on branche en silence, et les méthodes de grand-mère qui circulent encore, comment savoir ce qui marche vraiment ? Comment éloigner une souris sans la voir, sans la piéger, sans l’attirer ? Quels produits, quels gestes, quels choix sont crédibles… et lesquels ne sont que du vent ?

Sommaire

Qu’est-ce qu’un répulsif contre les souris ?

Un répulsif contre les souris est un dispositif ou une substance dont le rôle est de provoquer un comportement d’évitement chez le rongeur, sans recours au piégeage ni à l’empoisonnement. Il agit uniquement sur les sens de l’animal, pour le dissuader d’entrer, de rester ou de s’approcher d’une zone précise.

Ce type de produit ne tue pas, ne capture pas, et ne résout pas une infestation avancée. Il s’utilise en amont ou en complément, pour créer un environnement perçu comme hostile : odeurs répulsives, ondes ultrasoniques, signaux électromagnétiques… L’efficacité repose sur la capacité du répulsif à déclencher une gêne crédible, durable, et positionnée là où la souris cherche à s’installer.

Qu’est-ce que les souris détestent vraiment ?

Pour qu’un répulsif fonctionne, il doit s’appuyer sur ce que la souris perçoit comme une menace. Ces rongeurs évitent naturellement certains signaux sensoriels qui perturbent leur environnement : odeurs agressives, sons inhabituels, marqueurs chimiques associés à un danger. Ce ne sont pas des peurs « conscientes », mais des réflexes d’évitement inscrits dans leur comportement d’exploration.

Une souris déteste ce qui brouille ses repères. Elle fuit les odeurs persistantes qu’elle juge hostiles, les bruits stridents qu’elle n’identifie pas, ou les indices olfactifs signalant la présence d’un prédateur. Ces signaux, même simples, peuvent suffire à déclencher un changement de trajectoire ou à l’empêcher de revenir.

Ce sont précisément ces leviers sensoriels que les répulsifs cherchent à reproduire — artificiellement ou naturellement — pour empêcher l’installation d’un nid ou la réapparition d’une activité nocturne.

Les répulsifs olfactifs : miser sur l’odorat pour faire fuir

Chez la souris, l’odorat est le premier sens mobilisé pour explorer un espace. Son nez détecte des molécules là où un humain ne sentirait rien. C’est ce levier que les répulsifs olfactifs exploitent : saturer l’air ambiant avec une odeur jugée hostile, perturbante ou inconnue. Mais pour que cela fonctionne, encore faut-il choisir les bonnes substances, et savoir comment les utiliser.

Menthe, eucalyptus, citronnelle… ces huiles essentielles que les souris ne supportent pas

Chez les rongeurs, l’odorat est un outil de navigation. Saturer une zone avec certaines huiles essentielles peut suffire à perturber une piste ou à faire fuir une souris déjà présente. Les plus utilisées sont celles de menthe poivrée, d’eucalyptus globulus, de citronnelle de Java et de lavande vraie. Toutes possèdent un parfum agressif, très concentré, que la souris évite instinctivement si elle n’a pas encore installé ses repères.

Mais l’effet ne dépend pas de l’huile seule : c’est la concentration et la régularité qui déterminent le résultat. Une simple goutte sur un coton sec ne fait rien au bout de 48 heures. Il faut renouveler tous les deux à trois jours, ou utiliser un diffuseur à froid programmable dans les pièces à risque (cuisine, cellier, local poubelle).

Attention à l’automatisation maladroite : une diffusion trop intense ou mal placée peut devenir désagréable pour les habitants, sans augmenter l’efficacité sur les souris. C’est un dosage fin à adapter à chaque logement.

Une gêne qui ne tient qu’à la régularité : les souris s’éloignent d’une zone fraîchement imprégnée de menthe poivrée ou de citronnelle, mais dès que l’odeur s’estompe, elles reviennent en exploration. Sans entretien rigoureux, l’effet répulsif tombe à zéro.

Laurier et sauge fraîche : une barrière naturelle à poser dans les recoins

Le laurier et la sauge ne sont pas seulement des plantes de cuisine. Fraîches, elles dégagent une odeur camphrée et amère que les souris évitent instinctivement. Ce rejet n’est pas systématique, mais dans un logement calme et fermé, leur parfum végétal crée une gêne suffisante pour détourner un passage ou empêcher une installation.

Ces feuilles ne diffusent pas aussi fortement que les huiles essentielles, mais leur avantage, c’est la durée. En les plaçant entières dans les zones sensibles — derrière le frigo, dans les angles de placard, sous l’évier ou derrière un meuble bas — elles agissent en silence pendant plusieurs jours, sans diffusion active ni pulvérisation.

Il est conseillé d’en disposer 4 à 5 feuilles par recoin, légèrement froissées pour activer l’arôme. Renouvelez-les tous les 4 à 6 jours, dès qu’elles sèchent ou brunissent. Évitez les feuilles déjà trop anciennes ou stockées longtemps : elles ont perdu l’essentiel de leur odeur répulsive.

Dans une cave ou un garage, vous pouvez les combiner à des tiges de romarin ou de thym pour renforcer l’effet répulsif, à condition que le lieu soit relativement sec et peu ventilé.

Effet réel mais localisé : le laurier fonctionne surtout dans les zones calmes et fermées (placards, tiroirs, dessous d’évier), mais perd rapidement son intérêt si la nourriture ou la chaleur sont plus fortes que l’odeur. Il faut le placer tôt, avant que la souris n’installe ses repères.

Vinaigre blanc : une odeur acide qui perturbe les rongeurs

Très utilisé dans les astuces de grand-mère, le vinaigre blanc agit principalement par son acidité olfactive. Son odeur piquante agresse les muqueuses des rongeurs, surtout dans les lieux confinés. Il ne provoque pas une fuite violente, mais crée un inconfort suffisant pour détourner une souris d’un lieu où elle hésite encore à s’installer.

Son efficacité reste limitée dans le temps : l’odeur s’évapore en moins de 24 heures sur une surface lisse, et encore plus vite si la zone est ventilée ou humide. Pour l’utiliser correctement, il faut en verser pur sur un chiffon, une coupelle ou une éponge, placés dans les zones calmes (dessous de meuble, arrière de placard, coins de cave).

En revanche, son usage sur textiles, tapis ou joints peut poser problème à cause de sa corrosivité. Évitez tout contact avec des matériaux fragiles ou non lavables.

Un effet très court dans le temps : dès que l’odeur s’atténue, l’effet dissuasif disparaît. Pour maintenir l’action, il faut réimprégner les supports tous les jours — et accepter que l’odeur soit également dérangeante pour vous.

Clous de girofle : un arôme piquant à effet répulsif court terme

Les clous de girofle contiennent de l’eugénol, une molécule à l’odeur chaude, épicée et persistante. Pour une souris, ce parfum dense signale un danger ou une perturbation. Placés en petit tas dans les angles ou dans une coupelle ouverte, ils peuvent dissuader une exploration ponctuelle, surtout dans une pièce calme sans activité humaine constante.

Mais l’effet répulsif reste limité à quelques heures ou jours selon l’exposition à l’air. Une fois l’arôme dissipé, la souris reprend ses trajets habituels. Ce n’est donc pas une solution autonome, mais un appoint utile dans un recoin ou un tiroir, le temps de mettre en place une stratégie complète.

Pour prolonger un peu l’effet, certains les combinent à des zestes de citron ou des huiles essentielles, mais là encore, la gêne est modeste et temporaire. Aucune illusion à se faire : le clou de girofle n’est pas un mur olfactif.

Une gêne très localisée : dans un tiroir ou un placard fermé, les clous de girofle peuvent repousser une souris hésitante. Mais en milieu ouvert ou ventilé, leur odeur se dilue trop vite pour jouer un vrai rôle répulsif.

Mélange maison eau + alcool + HE : simple, mais pas toujours efficace

Fabriquer soi-même un répulsif à base d’eau, d’alcool et d’huiles essentielles peut sembler pratique et économique. Sur le terrain, on croise régulièrement ce type de mélange dans les appartements ou les maisons, souvent vaporisé dans les coins ou sous les meubles. Le principe est logique : diluer une huile fortement odorante dans un liquide pulvérisable pour perturber l’odorat de la souris. Mais dans la majorité des cas, le résultat est insuffisant car le mélange est trop faible ou mal utilisé.

Pour que ce type de solution ait un effet réel, il faut respecter des proportions précises : au moins 15 à 20 gouttes d’huile essentielle pure pour 100 ml de solution, avec un ajout d’alcool (minimum 20 à 30 %) pour casser la tension entre l’huile et l’eau. Sans alcool, les gouttes ne se mélangent pas, elles flottent en surface et ne diffusent presque rien après vaporisation.

Ce répulsif maison peut être pulvérisé sur des surfaces lavables, des tissus ou des linges placés dans les zones sensibles. Mais l’effet ne dure pas plus de 24 heures sans renouvellement, surtout dans une pièce aérée. Il ne peut fonctionner que si l’odeur est forte, stable, et maintenue chaque jour — sinon, la souris ignore la zone dès le lendemain.

Un effet réel uniquement si le mélange est bien dosé : un répulsif maison n’est pas inoffensif, mais il n’est efficace que s’il est préparé avec rigueur et appliqué régulièrement. Sinon, c’est juste de l’eau parfumée qui n’empêche rien du tout.

Ammoniaque ménager : simuler l’odeur d’un prédateur pour faire reculer

L’ammoniaque est parfois utilisée pour son odeur très forte, qui rappelle celle de l’urine de prédateur. Chez la souris, ce type d’odeur est interprété comme un signal de présence dangereuse : elle déclenche un comportement d’évitement immédiat, surtout dans les zones mal explorées. C’est cet instinct de survie que certains répulsifs cherchent à exploiter.

L’application se fait sur coton ou chiffon, à déposer dans les zones critiques : dessous d’évier, arrière des meubles, accès aux réserves. Mais l’ammoniaque s’évapore vite et perd rapidement son efficacité. Il faut la renouveler très souvent pour maintenir une gêne olfactive constante. Ce type de répulsif n’agit pas sur la durée, ne traite pas le problème, et reste à manipuler avec précaution.

Une solution d’appoint temporaire : l’ammoniaque peut servir de barrière dissuasive ponctuelle, mais ne suffit jamais à elle seule à éloigner durablement les souris.

Les billes odorantes prêtes à l’emploi : pratiques mais limitées

Vendues en sachets refermables ou en boîtes, ces billes ou boules naturelles imprégnées d’huiles essentielles (menthe, lavande, citronnelle…) s’utilisent en prévention dans les placards, les tiroirs ou les recoins de cave. L’objectif est simple : diffuser lentement une odeur jugée répulsive sans devoir pulvériser ou manipuler des liquides. On les pose directement dans les zones calmes, parfois même dans les voitures ou camping-cars.

Mais sur le terrain, leur action reste modeste. Ces produits n’ont pas de diffusion active (pas de vaporisation, pas de chaleur) : leur portée est donc très locale, et l’odeur s’atténue rapidement. Dans les pièces ventilées, humides ou vastes, l’effet est quasi nul au bout de quelques jours. Ils peuvent gêner une souris hésitante, mais ne repoussent pas un rongeur déjà installé ou motivé par une source de chaleur ou de nourriture.

Ils ont cependant un intérêt : pratiques, propres, sans risque de coulure ou d’irritation, ils peuvent compléter une stratégie de dissuasion douce, notamment dans les placards à provisions ou les véhicules. Mais leur efficacité dépend énormément de la qualité des ingrédients utilisés, de la fraîcheur des billes, et du renouvellement fréquent (toutes les 1 à 2 semaines).

Billes prêtes à poser : à retenir

✔️ Une solution propre et simple à installer, utile en prévention dans les petites zones fermées. ❌ À ne pas utiliser seule si des traces récentes (crottes, grignotage, bruits) sont déjà présentes.

Pest Control Balls, répulsif de Souris, répulsif de Souris extérieur, Pas d’électrique, Huile de Menthe poivrée répulsive de Souris, écureuils, cafards, Mieux qu'électriq...

Pest Control Balls, répulsif de Souris, répulsif de Souris extérieur, Pas d’électrique, Huile de Menthe poivrée répulsive de Souris, écureuils, cafards, Mieux qu'électrique 8P

25,99 €

En stock

Voir sur Amazon

Choisir le bon répulsif olfactif : tableau comparatif complet

Sous chaque répulsif « miracle » se cachent des contraintes bien réelles : durée de diffusion, fréquence de renouvellement, gêne éventuelle pour les occupants. Ce tableau récapitule les points clés pour sélectionner le répulsif le plus adapté à chaque pièce du logement.

Substance & forme Concentration / mise en œuvre Durée
d’action
Renouvellement conseillé Zone la plus efficace Gêne pour occupants Efficacité terrain
(0 – 3)
Huiles essentielles (menthe, eucalyptus…) Diffusion à froid ; 20 gouttes /100 ml 6 – 12 h en pièce ventilée Tous les 2 – 3 jours Plinthes, dessous d’évier, cellier Irritant si trop concentré 2,0
Laurier / sauge fraîches 4 – 5 feuilles froissées / recoin 3 – 4 jours Tous les 4 – 6 jours Placards fermés, tiroirs, cave sèche Odeur légère, généralement tolérée 1,5
Vinaigre blanc (pur sur chiffon) 100 % pur, coupelle ou chiffon imbibé 12 – 24 h Quotidien Coins de cave, dessous de meuble Odeur piquante, corrosif sur textiles 1,0
Clous de girofle (tas ou coupelle) 1 c. à s. / angle 8 – 12 h (pièce ventilée) Ajout quotidien Placards fermés, tiroirs Odeur épicée modérée 0,5
Mélange eau / alcool + HE 20 gouttes HE + 30 % alcool /100 ml ≤ 24 h Pulvériser chaque jour Surfaces lavables, linges Irritant si pulvérisé en excès 0,5
Ammoniaque ménager (coton imbibé) Pur, coton/tissu 6 – 12 h Renouveler deux fois/jour Sous évier, arrière meubles Inhalation irritante, port de gants 1,0
Huiles essentielles (menthe, eucalyptus…)
Concentration / mise en œuvreDiffusion à froid ; 20 gouttes / 100 ml
Durée d’action6 – 12 h (pièce ventilée)
Renouvellement conseilléTous les 2 – 3 jours
Zone la plus efficacePlinthes, dessous d’évier, cellier
Gêne pour occupantsIrritant si trop concentré
Efficacité terrain (0 – 3)2,0
Laurier / sauge fraîches
Concentration / mise en œuvre4 – 5 feuilles froissées / recoin
Durée d’action3 – 4 jours
Renouvellement conseilléTous les 4 – 6 jours
Zone la plus efficacePlacards fermés, tiroirs, cave sèche
Gêne pour occupantsOdeur légère, tolérée
Efficacité terrain (0 – 3)1,5
Vinaigre blanc
Concentration / mise en œuvre100 % pur, coupelle ou chiffon imbibé
Durée d’action12 – 24 h
Renouvellement conseilléQuotidien
Zone la plus efficaceCoins de cave, dessous de meuble
Gêne pour occupantsOdeur piquante, corrosif textiles
Efficacité terrain (0 – 3)1,0
Clous de girofle
Concentration / mise en œuvre1 c. à s. / angle
Durée d’action8 – 12 h
Renouvellement conseilléAjout quotidien
Zone la plus efficacePlacards fermés, tiroirs
Gêne pour occupantsOdeur épicée modérée
Efficacité terrain (0 – 3)0,5
Mélange eau / alcool + HE
Concentration / mise en œuvre20 gouttes HE + 30 % alcool / 100 ml
Durée d’action≤ 24 h
Renouvellement conseilléPulvériser chaque jour
Zone la plus efficaceSurfaces lavables, linges
Gêne pour occupantsIrritant si excès
Efficacité terrain (0 – 3)0,5
Ammoniaque ménager
Concentration / mise en œuvrePur, coton/tissu
Durée d’action6 – 12 h
Renouvellement conseillé2× / jour
Zone la plus efficaceSous évier, arrière meubles
Gêne pour occupantsInhalation irritante, gants
Efficacité terrain (0 – 3)1,0

Les répulsifs chimiques contre les souris prêts à l’emploi

Quand les solutions naturelles montrent leurs limites, certains produits du commerce proposent une alternative plus puissante, conçue pour incommoder directement l’odorat des souris. Sprays, gels ou granules : ils s’utilisent en prévention ou en renfort d’un traitement existant.

Sprays anti-souris : où les appliquer pour gêner sans intoxiquer

Ces aérosols dégagent des odeurs très concentrées — camphre, menthol synthétique, aldéhydes ou extraits aromatiques — ciblant les capteurs olfactifs des souris. Ils ne tuent pas, mais créent un environnement jugé hostile par le rongeur. Encore faut-il savoir où les utiliser.

On ne pulvérise jamais un spray répulsif au hasard. Les points stratégiques sont les bas de murs, les dessous de meubles, les angles d’entrée, les gaines techniques. Éviter toutes les zones textiles ou sensibles (tissus, literie, vaisselle). Le geste est à renouveler tous les 3 à 5 jours : l’effet diminue avec le temps, surtout dans un logement ventilé.

Ces produits s’adressent surtout aux logements peu infestés, ou aux pièces à protéger de manière ciblée (ex. : cellier, placard à provisions, fourgon). En cas de présence active, un spray ne suffit jamais : il faut penser colmatage, capture ou intervention pro.

Attention aux supports sensibles : certains sprays répulsifs peuvent laisser des traces grasses ou altérer la couleur des surfaces poreuses comme le bois brut ou les textiles naturels.

RepellShield® Répulsif Anti Souris & Anti Rat -250ml- Menthe Poivrée Concentrée – Non Tachant – Usage Intérieur & Extérieur – Éloigne Les Rongeurs – Protection Anti ...

RepellShield® Répulsif Anti Souris & Anti Rat -250ml- Menthe Poivrée Concentrée – Non Tachant – Usage Intérieur & Extérieur – Éloigne Les Rongeurs – Protection Anti Souris et Rats Puissant

17,99 €

En stock

Voir sur Amazon

Gels répulsifs : une barrière odorante discrète mais fragile

Ces gels sont vendus en seringue ou en petit pot, à déposer en fines lignes dans les recoins. Leur but : diffuser lentement une odeur persistante (menthol, citronnelle, camphre) que les souris trouvent désagréable. Contrairement aux sprays, ils ne s’évaporent pas d’un coup : la libération est progressive, sur plusieurs jours.

Mais leur tenue est très variable. En dessous de 10 °C, le gel se durcit vite et perd en diffusion. En été, il peut fondre ou couler sur certaines surfaces. Et au moindre nettoyage ou déplacement de meuble, il faut le remettre. L’autre limite est qu’il faut l’appliquer manuellement à la bonne hauteur (5 à 15 cm du sol) et sur les bonnes zones (plinthes, derrière électroménager, sous évier…).

Il reste une solution discrète dans les endroits confinés ou sans animaux domestiques. Mais son efficacité dépend plus de la rigueur d’application que de la puissance de l’odeur. Certains gels annoncés comme “répulsifs professionnels” ne fonctionnent pas mieux que des recettes maison si le placement est mauvais.

À manipuler avec des gants : le contact direct peut saturer l’odorat humain ou irriter la peau, surtout en cas de forte concentration d’huiles essentielles.

Granulés ou poudres : une solution à renouveler très souvent

Plus rares en magasin, les répulsifs en granulés ou en poudre sont généralement composés d’un support minéral ou végétal (argile, sciure, céréales traitées) imbibé d’actifs odorants. Le principe reste toujours le même : créer une ambiance olfactive hostile pour la souris. On les saupoudre dans les combles, les caves ou derrière les plinthes, en dehors des zones de passage humain.

Mais leur limite est double. D’abord, l’odeur diminue très vite (48 à 72 h maximum), surtout dans les pièces ventilées. Ensuite, ils sont facilement dispersés ou aspirés lors du ménage. Résultat : il faut en remettre souvent, parfois tous les deux jours, et éviter tout contact avec les enfants ou les animaux.

Ce type de produit peut convenir à des espaces fermés ou peu accessibles, comme les coffres techniques ou le fond des placards. Mais il ne faut pas s’attendre à un effet longue durée : c’est un répulsif d’appoint, à considérer comme un geste temporaire, pas comme un traitement de fond.

Jamais en surface ouverte : les granulés peuvent être ingérés par un enfant ou un animal curieux si le produit est mal placé ou non sécurisé.

Barrière à Rongeurs Rats et Souris, Répulsif, Poudre Prête à l'emploi - 200 g, nc

Barrière à Rongeurs Rats et Souris, Répulsif, Poudre Prête à l'emploi - 200 g, nc

10,89 €

En stock

Voir sur Amazon
Répulsif chimique Coût initial
(pastille = niveau)
Durée
d’action
Renouvellement Zone la plus efficace Risque occupants Efficacité
terrain (0 – 3)
Atout principal Limite principale
Spray répulsif 🟠 8 – 15 € 48 – 72 h Tous les 3 – 5 jours Bas de murs, dessous meubles Traces grasses possibles 2 / 3 Action rapide, ciblée Efficacité brève, traces possibles
Gel répulsif 🟡 9 – 18 € 7 – 10 jours 1× / semaine Plinthes, arrière électroménager Irritation peau/odorat 1,5 / 3 Diffuse lentement, discret Fond si chaleur ; placement rigoureux
Granulés & poudres 🟢 6 – 12 € 2 – 3 jours Tous les 2 jours Combles, caves, faux-plafonds Ingestion enfant/animal 1 / 3 Pose simple, bas coût unitaire Odeur s’affaiblit très vite

🟢 = faible | 🟡 = modéré | 🟠 = élevé

ALAKLE Repulsif Souris et Rats, Anti Rongeur Puissant pour Intérieur Efficacité Supérieure aux Ultrasons a Souris (10 Paquets)

ALAKLE Repulsif Souris et Rats, Anti Rongeur Puissant pour Intérieur Efficacité Supérieure aux Ultrasons a Souris (10 Paquets)

34,34 €

En stock

Voir sur Amazon
Spray répulsif (aérosol)
Coût initial🟠 8 – 15 €
Durée d’action48 – 72 h
RenouvellementTous les 3 – 5 jours
Zone optimaleBas de murs, dessous meubles
Risque occupantsTraces grasses possibles
Efficacité terrain2 / 3
Atout principalAction rapide, ciblée
Limite principaleEfficacité brève, traces possibles
Gel répulsif (seringue/pot)
Coût initial🟡 9 – 18 €
Durée d’action7 – 10 jours
Renouvellement1 × / semaine
Zone optimalePlinthes, arrière électroménager
Risque occupantsIrritation peau / odorat
Efficacité terrain1,5 / 3
Atout principalDiffuse lentement, discret
Limite principaleFond si chaleur ; placement rigoureux
Granulés & poudres répulsifs
Coût initial🟢 6 – 12 €
Durée d’action2 – 3 jours
RenouvellementTous les 2 jours
Zone optimaleCombles, caves, faux-plafonds
Risque occupantsIngestion enfant / animal
Efficacité terrain1 / 3
Atout principalPose simple, bas coût unitaire
Limite principaleOdeur s’affaiblit très vite

🟢 = faible | 🟡 = modéré | 🟠 = élevé

Les ultrasons : une gêne sonore variable selon l’environnement

Parmi les solutions anti-souris non toxiques, les répulsifs à ultrasons se présentent comme une option « propre » et simple à installer. Mais leur efficacité réelle repose sur des paramètres très précis : fréquence sonore, volume émis, portée, et disposition dans la pièce. Mal maîtrisés, ces appareils se révèlent souvent inutiles, voire contre-productifs.

À quelle fréquence et à quel volume une souris est-elle dérangée ?

Les répulsifs à ultrasons ciblent les rongeurs grâce à des sons compris entre 20 et 80 kHz, inaudibles pour l’oreille humaine. À partir de 30-40 kHz, certaines souris montrent des signes d’inconfort, mais tout dépend de la durée d’exposition et de la puissance émise. Le volume sonore (décibels) est tout aussi important : en dessous de 35 dB, l’effet est trop faible, surtout dans un environnement vaste ou meublé. Au-dessus de 60 dB, les résultats sont plus probants, mais les appareils doivent être certifiés conformes à la norme EN 60745-1 pour éviter tout risque pour les habitants.

Portée réelle dans une pièce meublée : pas plus de 15 à 25 m²

Théoriquement, certains appareils annoncent une couverture de jusqu’à 300 m². En pratique, dans un logement standard, les murs, les meubles, les tapis et même les rideaux absorbent ou dévient le signal. Un appareil placé dans une cuisine ouverte de 20 m² aura une efficacité très localisée, souvent réduite à un cône de 2 à 4 m devant la prise. Au-delà, la pression acoustique chute fortement. Il est donc fréquent de devoir installer un appareil par pièce ou par zone de passage, avec un positionnement d’environ 5-15 cm du sol.

Attention à la disposition : un répulsif placé derrière un frigo ou un rideau devient inefficace, même à haute fréquence. L’onde sonore doit rester directe et non obstruée.

Les erreurs fréquentes qui rendent les ultrasons inutiles

Le problème n’est pas toujours l’appareil lui-même. Les erreurs d’usage annulent la majorité des effets attendus. Parmi les plus fréquentes : brancher un seul appareil pour tout un logement, croire que les ultrasons traversent les murs, le placer trop haut ou derrière un obstacle, ou encore l’éteindre la nuit (alors que les souris sont actives). D’autres erreurs incluent le choix d’un modèle non certifié CE/CEM, ou à modulation fixe que les souris finissent par ignorer. Enfin, certaines espèces de souris s’habituent au son si la modulation ne varie pas.

Utilisés correctement, les répulsifs à ultrasons peuvent renforcer un dispositif anti-souris. Mais mal placés, mal calibrés ou sur-vendus, ils deviennent juste une veilleuse électronique sans effet.

AMZ BRAND Répulsif Ultrason Anti rongeur 2 Pack, Puissant Répulsif à Souris & rat - 3 Modes de Fonctionnement - Large Gamme de Fréquences

AMZ BRAND Répulsif Ultrason Anti rongeur 2 Pack, Puissant Répulsif à Souris & rat - 3 Modes de Fonctionnement - Large Gamme de Fréquences

36,99 €

En stock

Voir sur Amazon

BARRIERE A RONGEURS Répulsif ultrasons & électromagnétique Rats et Souris - Blister de 1 Appareil, Nicht Zutreffend

BARRIERE A RONGEURS Répulsif ultrasons & électromagnétique Rats et Souris - Blister de 1 Appareil, Nicht Zutreffend

30,97 €

En stock

Voir sur Amazon

PLINO Ultrason Souris et Rats Puissant à Large Portée - Répulsif Souris pour Intérieur avec Lumière LED - Ultrason Rongeur pour Maison, Appartement, Cave, Restaurant, Grenier,...

PLINO Ultrason Souris et Rats Puissant à Large Portée - Répulsif Souris pour Intérieur avec Lumière LED - Ultrason Rongeur pour Maison, Appartement, Cave, Restaurant, Grenier, Garage (1 Unité)

29,99 €

En stock

Voir sur Amazon

Les répulsifs électromagnétiques : effet douteux mais encore vendus

Branchés sur une simple prise murale, les répulsifs électromagnétiques promettent de faire fuir les souris sans bruit ni odeur. Leur principe repose sur une technologie qui exploite les variations du champ électromagnétique dans les fils électriques intérieurs du logement. L’objectif : gêner le système nerveux des rongeurs, notamment dans les murs et faux plafonds, pour les pousser à fuir les lieux.

Contrairement aux ultrasons, ces dispositifs ne couvrent pas l’air ambiant : ils ciblent les zones inaccessibles par voie acoustique. Cela les rend théoriquement utiles en complément d’autres solutions, mais leur fiabilité reste très controversée.

  • Principe de fonctionnement : modification continue des signaux électriques dans les câbles du logement pour créer un environnement perturbant.
  • Zone d’action : essentiellement les cloisons, doublages muraux et plafonds où circulent les gaines électriques.
  • Effet présumé : désorientation, inconfort, stress chronique qui pousse les souris à quitter les zones ciblées.
  • Efficacité non prouvée : aucune validation par l’ECHA, l’ANSES ou des laboratoires indépendants à ce jour.
  • Conditions favorables : logements récents avec bonne répartition des prises et gaines bien réparties.
  • Limites majeures : inefficace sur murs porteurs, structures en béton, logements anciens ou circuits électriques mal entretenus.

Avec l’expérience, les retours d’usage sont très hétérogènes. Certains foyers notent une baisse de l’activité des rongeurs dans les doublages de murs, d’autres ne constatent aucun changement. Le manque de données mesurées, l’absence de normalisation et la diversité des installations électriques rendent les comparaisons impossibles.

De nombreux fabricants commercialisent ces répulsifs électromagnétiques en duo avec des appareils à ultrasons, en misant sur un effet cumulé. Dans cette configuration, ils peuvent agir comme complément technique utile pour repousser les souris dans les volumes fermés. Mais seuls, ils ne suffisent pas à protéger un logement infesté.

Les répulsifs électromagnétiques : effet douteux mais encore vendus

Branchés sur une simple prise murale, les répulsifs électromagnétiques promettent de faire fuir les souris sans bruit ni odeur. Leur principe repose sur une technologie qui exploite les variations du champ électromagnétique dans les fils électriques intérieurs du logement. L’objectif : gêner le système nerveux des rongeurs, notamment dans les murs et faux plafonds, pour les pousser à fuir les lieux.

Contrairement aux ultrasons, ces dispositifs ne couvrent pas l’air ambiant : ils ciblent les zones inaccessibles par voie acoustique. Cela les rend théoriquement utiles en complément d’autres solutions, mais leur fiabilité reste très controversée.

  • Principe de fonctionnement : modification continue des signaux électriques dans les câbles du logement pour créer un environnement perturbant.
  • Zone d’action : essentiellement les cloisons, doublages muraux et plafonds où circulent les gaines électriques.
  • Effet présumé : désorientation, inconfort, stress chronique qui pousse les souris à quitter les zones ciblées.
  • Efficacité non prouvée : aucune validation par l’ECHA, l’ANSES ou des laboratoires indépendants à ce jour.
  • Conditions favorables : logements récents avec bonne répartition des prises et gaines bien réparties.
  • Limites majeures : inefficace sur murs porteurs, structures en béton, logements anciens ou circuits électriques mal entretenus.

Avec l’expérience, les retours d’usage sont très hétérogènes. Certains foyers notent une baisse de l’activité des rongeurs dans les doublages de murs, d’autres ne constatent aucun changement. Le manque de données mesurées, l’absence de normalisation et la diversité des installations électriques rendent les comparaisons impossibles.

De nombreux fabricants commercialisent ces répulsifs électromagnétiques en duo avec des appareils à ultrasons, en misant sur un effet cumulé. Dans cette configuration, ils peuvent agir comme complément technique utile pour repousser les souris dans les volumes fermés. Mais seuls, ils ne suffisent pas à protéger un logement infesté.

Bloquer, gêner, dissuader : ces barrières physiques qui éloignent les souris

Dans certaines configurations, il ne suffit pas de faire fuir une souris avec des odeurs ou du son : encore faut-il l’empêcher d’entrer ou de progresser. Certaines matières ou surfaces créent une gêne sensorielle directe, que les rongeurs préfèrent éviter. Ces barrières physiques sont utiles en complément des répulsifs olfactifs ou électroniques, surtout en prévention dans les zones à risque.

Laine d’acier : une texture agressive que les rongeurs fuient

La laine d’acier est l’un des matériaux les plus efficaces pour boucher un trou sans permettre le moindre passage. Son tressage fin, rugueux et coupant rend impossible toute tentative de grignotage ou de traversée pour une souris. En plus de sa résistance mécanique, elle produit un effet désagréable au toucher et au museau, renforçant le sentiment de danger pour l’animal.

Elle s’utilise surtout autour des tuyauteries, fissures murales, trous d’aération ou coins de plinthe. Il est essentiel de la fixer solidement avec du mastic ou de la mousse expansive pour éviter tout déplacement. À noter : la laine d’acier ne rouille pas si on choisit une version inoxydable, plus durable dans le temps.

Utilisée seule, elle n’a pas d’effet répulsif à distance. Mais en combinaison avec un répulsif souris (spray olfactif ou ultrason placé à proximité), elle renforce la protection de l’entrée.

💡 Pour bloquer efficacement un trou, la laine d’acier doit remplir tout l’espace, sans laisser de marge ni contact possible avec un matériau friable.Un simple trou de 1,5 cm de diamètre suffit à laisser passer une souris adulte : ne négligez aucun recoin, surtout derrière les meubles bas ou les tuyaux.

Aluminium froissé et rubans brillants : de la lumière pour les perturber

Les répulsifs visuels ne sont pas les plus connus, mais ils peuvent gêner ponctuellement certaines souris. L’aluminium froissé et les bandes brillantes agissent sur un levier simple : l’effet miroir combiné à des reflets imprévisibles crée une instabilité sensorielle que les rongeurs évitent quand ils ont le choix.

Concrètement, on place ces éléments dans des zones peu encombrées, légèrement éclairées, et où le passage est possible mais non vital pour les souris. Les bandes doivent être suspendues ou laissées libres pour bouger à la moindre vibration ou courant d’air. L’objectif n’est pas de faire peur, mais de perturber suffisamment pour provoquer un détour.

Mais dès que la zone abrite une source de chaleur, un nid ou un accès critique, ces effets disparaissent : la souris passera outre. Ce type de répulsif est donc à réserver aux configurations légères, en complément d’un vrai dispositif olfactif ou sonore.

Réflexe simple à tester : suspendre une bande brillante près d’une canalisation ou d’un renfoncement discret peut gêner les repérages nocturnes des souris, mais ne suffit jamais si une source d’attirance est présente.

Plaques, grillages, joints : refermer les brèches avant même qu’elles s’installent

Éloigner une souris, c’est bien. L’empêcher d’entrer, c’est mieux. Dès qu’un rongeur sent de l’air chaud filtrer par une plinthe mal posée, un joint déchiré ou un trou de gaine, il tente sa chance. Le simple fait de fermer hermétiquement les passages agit comme un répulsif mécanique : pas de passage = pas d’intrusion.

On utilise des plaques en inox ou alu pour obturer les orifices électriques ou les trous de ventilation inutilisés. Les grillages métalliques à maille fine (max 5 mm) bloquent les accès sous toiture ou autour des tuyaux d’évacuation. Et pour les zones sensibles (câbles, angles, gaines), on applique des joints silicone renforcés ou des mousses expansives classées M1, difficilement rongées.

Ce travail préventif ne sert pas qu’en cas d’invasion : une simple odeur de nourriture peut suffire à attirer une souris du jardin. Si aucune entrée n’est accessible, elle contournera le bâtiment. C’est une stratégie passive mais hautement dissuasive.

🛠️ Matériaux bien choisis = intrusion évitée : mieux vaut une grille inox vissée à 3 € qu’un plancher rongé à 300 €. Ce type de barrière physique est compatible avec tous les répulsifs olfactifs ou électroniques.

Tapis à picots et surfaces désagréables : gêner la circulation sans poison

Les souris privilégient toujours les déplacements discrets : le long des murs, derrière les meubles, dans les angles sombres. Elles détestent les surfaces instables ou inconfortables sous leurs pattes. C’est le principe des tapis répulsifs à picots : une barrière de contact, posée au sol ou sur une étagère, qui crée un passage désagréable, parfois même impraticable selon l’intensité du relief.

Certains modèles sont rigides (plastique dur, PVC), d’autres souples (nattes souples à pointes flexibles). Dans tous les cas, leur efficacité dépend du bon emplacement : seuils de porte, accès aux placards, tuyauteries, dessous de hotte, coffrages ouverts. Le but n’est pas de blesser l’animal, mais de le forcer à rebrousser chemin — un réflexe d’évitement immédiat.

En complément, les graviers pointus ou les billes anti-rongeurs peuvent être utilisés dans les faux plafonds ou autour des gaines techniques pour gêner toute circulation. Ce sont des répulsifs passifs, mais efficaces dans les zones ciblées où l’accès ne peut être physiquement fermé.

🚧 Pour chaque point de passage identifié : un tapis à picots ou une surface inconfortable peut suffire à faire fuir les souris sans produit chimique, sans odeur, et sans bruit.

Manchons PVC et gaines lisses : empêcher l’escalade le long des câbles et tuyaux

Les souris exploitent toutes les structures verticales pour se déplacer : tuyaux d’évacuation, câbles électriques, conduites de chauffage, tuyaux d’arrivée d’eau. Ces axes servent souvent de passerelle vers les combles, les placards en hauteur ou les faux plafonds. Dès qu’elles trouvent un appui suffisamment rugueux, leur agilité leur permet de grimper facilement.

Pour empêcher ce type d’accès, on utilise des manchons en PVC lisse, des gaines souples ou rigides à clipser autour des tuyaux exposés. Plus la surface est lisse et sans prise, plus elle devient dissuasive. Il est recommandé de poser ces protections sur toute la hauteur accessible, en veillant à ne pas laisser d’espace entre les sections.

Certains techniciens utilisent aussi des tubes de 50 mm retournés autour des colonnes verticales : l’effet collerette empêche la progression. Cette méthode physique ne tue pas, ne blesse pas, mais crée une véritable barrière d’accès pour les rongeurs sans recourir à des produits chimiques ou sonores.

💡 Un tuyau nu est une autoroute verticale : en le rendant glissant, on transforme l’accès en impasse pour les souris, sans bruit, sans odeur, et sans danger pour les occupants.

Les recettes maison : quand les astuces tournent au bricolage

À force de chercher des solutions « naturelles » pour faire fuir les souris, beaucoup de particuliers finissent par improviser des recettes maison. Certaines sont inoffensives mais peu durables, d’autres franchement risquées. Dans tous les cas, ces astuces relèvent plus souvent du bricolage ponctuel que d’un véritable dispositif répulsif. Voici ce qu’il faut vraiment savoir avant de les essayer chez soi.

Boules de coton imbibées : efficaces deux jours, pas plus

C’est l’astuce la plus répandue sur internet : imbiber des boules de coton avec des huiles essentielles (menthe poivrée, lavande, citronnelle…) ou du vinaigre blanc, et les disposer dans les placards, sous l’évier ou dans les combles. En théorie, l’odeur concentrée agit comme répulsif et dissuade les souris de s’approcher.

Mais sur le terrain, l’effet est très limité dans le temps. En moins de 48 heures, l’odeur s’évapore ou se dilue dans l’air, surtout si la température est douce ou si la ventilation est bonne. Résultat : les souris passent à côté, voire sur les cotons, sans plus de réaction.

Autre point critique : le dosage. Pour que l’effet soit un tant soit peu perceptible, il faudrait renouveler l’application plusieurs fois par semaine, avec des huiles pures de qualité, souvent coûteuses. Or, une mauvaise dilution ou une huile trop ancienne réduit encore l’impact.

Au final, ces boules de coton peuvent être utilisées comme complément très ponctuel, dans une zone précise, et à condition de les changer souvent. Mais elles ne constituent en aucun cas une solution fiable ou durable pour repousser les souris.

⚠️ Une odeur perceptible pour vous ne l’est pas forcément pour une souris : passé un certain seuil de concentration, la souris s’habitue — ou ignore — l’odeur. Sans renouvellement fréquent, la boule devient vite un simple déchet odorant.

Poivre, citron, thé… des odeurs qui ne suffisent pas à repousser

Certains répulsifs dits « naturels » reviennent souvent dans les conseils populaires : poivre noir moulu, zestes de citron, sachets de thé usagés. Le principe est simple : ces odeurs fortes ou amères seraient désagréables pour les rongeurs, et les inciteraient à changer de trajectoire. Dans les faits, aucune de ces solutions n’a démontré d’effet répulsif réel sur les souris.

Le poivre, par exemple, peut irriter les voies respiratoires d’un humain, mais une souris passe à côté sans s’arrêter, surtout s’il n’est pas frais ou s’il a pris l’humidité. Le citron, s’il est utilisé en zeste ou en jus, perd son odeur en quelques heures. Quant au thé (menthe, noir, camomille…), il ne génère aucun effet sensoriel assez puissant pour agir comme répulsif — même neuf.

Le vrai danger, c’est que ces méthodes donnent une illusion de protection. On croit avoir agi, alors qu’aucune barrière réelle n’a été posée, ni physique, ni olfactive efficace. Pire : certaines souris, déjà installées, peuvent marcher directement dessus pour atteindre une source d’alimentation ou un nid.

💡 Ce n’est pas parce qu’une odeur vous dérange qu’elle repousse un rongeur : la souris vit dans des milieux saturés d’odeurs fortes (déchets, urine, moisi) et sait parfaitement ignorer ce qui ne menace pas sa sécurité immédiate.

Huiles d’ail ou d’oignon : des odeurs puissantes mais mal maîtrisées

Dans certaines recettes maison, l’ail ou l’oignon sont transformés en purée, bouillis ou infusés dans de l’huile végétale, puis pulvérisés aux abords des plinthes ou des trous de passage. Le but : dégager une odeur piquante, persistante et naturellement répulsive pour les rongeurs. En effet, les composés soufrés contenus dans ces bulbes sont irritants pour l’odorat des souris, qui préfèrent éviter les zones fortement imprégnées.

Mais dans la pratique, ces répulsifs maison posent de nombreux problèmes : odeur très forte pour les humains, macération mal contrôlée, difficulté à conserver la préparation plus de 48 h sans fermentation ou moisissure… Sans parler des taches possibles sur le sol ou les murs. Le dosage est souvent approximatif, et les zones traitées deviennent rapidement inertes en l’absence de renouvellement fréquent.

Ce type de solution n’est donc ni durable, ni fiable à grande échelle. Son seul intérêt peut être ponctuel, en zone non habitée ou sur un rebord extérieur, mais il ne peut remplacer un répulsif souris testé, dosé et conforme aux normes biocides en vigueur.

⚠️ Une infusion d’ail laissée 3 jours à température ambiante devient un foyer bactérien : ces recettes non stabilisées posent autant de nuisances que la présence de souris elle-même.

Quel répulsif contre les souris vaut vraiment le coup en 2025 ?

Entre promesses commerciales et bricolages inefficaces, il est difficile de savoir quel répulsif choisir pour éloigner les souris durablement. Pour aider à y voir clair, voici les critères techniques à vraiment prendre en compte — pas ceux qui brillent sur l’emballage, mais ceux qui comptent une fois branchés ou posés dans la cuisine.

Critères techniques : efficacité réelle, portée, durée, sécurité

Un répulsif anti-souris ne fonctionne pas parce qu’il est “puissant” sur la boîte. Il fonctionne quand il gêne concrètement la souris à l’endroit où elle passe. Ce qui compte, c’est la vraie interaction entre le produit, l’environnement, et le comportement du rongeur. Et là, tous les modèles ne se valent pas.

  • Efficacité ciblée : une huile essentielle isolée dans un salon ouvert ne fera rien. En revanche, une diffusion continue près d’un passage (placard, soupente, angle sombre) provoque un détour. Même logique pour les ultrasons : efficaces uniquement dans un volume dégagé, silencieux, sans obstacle absorbant.
  • Surface couverte : pas plus de 20-25 m² utiles par appareil en pratique. Et jamais à travers les cloisons. Un deux-pièces mal protégé avec un seul répulsif mal orienté, c’est du bricolage.
  • Tenue dans le temps : les sprays s’évaporent en 48h. Les boules de coton sèchent. Seuls les appareils électriques (diffuseurs, ultrasons) offrent une gêne constante. Mais là aussi : vérifier l’autonomie, l’entretien et le placement.
  • Compatibilité avec l’environnement : huiles trop fortes dans une chambre = irritation. Ultrasons trop puissants = gêne pour un petit chien. Il faut adapter le type de répulsif à l’usage réel de la pièce.

Mieux vaut un modèle moyen mais bien positionné, dans un lieu stratégique (plinthes, sous évier, coin de placard) qu’un appareil “puissant” posé dans un couloir vide. Et surtout : toujours combiner plusieurs leviers (odeur + son, ou son + barrière physique) si l’objectif est de vraiment les faire fuir durablement.

Le bon choix n’est pas celui qui promet le plus fort effet sur l’étiquette. C’est celui qui s’intègre intelligemment dans la configuration du logement, avec un positionnement précis, une action continue, et un appui complémentaire si nécessaire. Une souris n’est pas dupe. Mais elle déteste être dérangée de plusieurs manières en mê

Compatibilité enfants et animaux : chaque répulsif a ses limites

Un répulsif anti-souris peut être utile, mais pas à n’importe quel prix. Dans un foyer avec des enfants ou des animaux, certaines solutions doivent être évitées ou sécurisées. L’objectif est de faire fuir les rongeurs, sans exposer les occupants à des risques inutiles.

  • Huiles essentielles pures : très concentrées, elles peuvent provoquer des irritations cutanées, respiratoires ou digestives en cas de contact ou d’ingestion. À éviter dans les chambres d’enfants ou à proximité d’un chat, particulièrement sensible aux molécules comme l’eugénol (clou de girofle) ou le limonène (agrumes).
  • Granulés, gels, poudres “naturelles” : même sans poison, ils restent faciles à lécher ou à manipuler pour un jeune enfant ou un animal curieux. Leur usage est à proscrire dans les pièces de vie sans protection. En extérieur ou en zone fermée, il faut les placer dans des coins inaccessibles ou sous cloche.
  • Ultrasons : inoffensifs pour l’humain en théorie, mais certains modèles peuvent perturber les chiens ou les NAC (rongeurs domestiques, furets…). Le niveau sonore, la fréquence et la durée d’émission doivent être vérifiés. Un modèle certifié EN 60745-1 est préférable (bruit ≤ 70 dB à 1 mètre).
  • Barrières physiques : tapis à picots, gaines lisses, grillages… ce sont les solutions les plus neutres et les plus sûres dans un environnement familial. Aucun dégagement toxique, aucun bruit, aucun risque de contact accidentel.

Si des enfants ou des animaux vivent dans le logement, il vaut mieux prioriser les répulsifs discrets, sans contact, et sans diffusion active. Mieux vaut une combinaison tapis + gaines + répulsif ultrason discret, qu’un spray fort qui pollue la pièce ou des granulés mal surveillés.

Un bon répulsif est celui qu’on oublie… sauf pour les souris. Et dans un foyer occupé, la sécurité doit primer sur la promesse marketing.

Coût sur la durée : ce que vous payez vraiment pour faire fuir les souris

Un répulsif peu cher à l’achat peut vite coûter plus qu’un modèle durable, si on tient compte de la fréquence de remplacement, de l’entretien ou de la consommation électrique. Ce n’est pas seulement une question de prix affiché, mais de coût réel sur plusieurs semaines ou mois.

  • Recettes maison : presque gratuites (coton, huiles essentielles, marc de café…), elles semblent économiques. Mais leur efficacité chute en 48h. Il faut remettre du produit tous les 2 ou 3 jours, ce qui finit par coûter plus en huiles essentielles ou ingrédients. Sans compter le temps passé à surveiller, remplacer, repositionner.
  • Produits du commerce (sprays, gels, diffuseurs) : vendus entre 6 et 20 € selon le format, ils offrent une portée limitée (quelques m²) et nécessitent souvent un rechargement ou un remplacement toutes les 3 à 5 semaines. À moyen terme, la facture grimpe. Un diffuseur programmable + recharges peut dépasser 70 € sur 3 mois dans une grande maison.
  • Barrières physiques (laine d’acier, gaines, grillages) : coût d’achat entre 3 et 15 € par point de pose, aucun entretien, aucun renouvellement. Une fois bien installé, le dispositif reste actif tant que l’installation est intacte. C’est un investissement initial, mais sans dépense récurrente.
  • Appareils électroniques (ultrasons, électromagnétiques) : prix d’achat entre 15 et 50 €, pour une durée de vie annoncée de 1 à 3 ans. La consommation électrique est faible (souvent moins de 5W/h), mais l’efficacité dépend énormément du positionnement. Mal placé = argent gaspillé.

Le bon choix n’est donc pas forcément le moins cher. Un kit combiné avec 1 appareil ultrason fiable, 2-3 barrières physiques bien posées, et quelques répulsifs olfactifs d’appoint revient souvent moins cher que plusieurs mois de sprays inefficaces ou de bricolage sans résultat.

💶 Un répulsif efficace sur la durée coûte rarement moins de 1 €/m²/mois si on inclut les recharges et le matériel. L’illusion du “pas cher” finit souvent en double achat… ou en invasion.
Type de répulsif Budget 12 mois*
(pastille = niveau)
Pose &
difficulté
Autonomie
sans entretien
Compatibilité
enfants / animaux
Atout décisif
(terrain)
Limite majeure Score
efficacité**
Olfactifs naturels
(huiles essentielles, laurier…)
🟡 ≈ 22 €/m² ⏱️ 5 min / zone
🎯 placement précis
6–24 h ⚠️ HE toxiques chats
😌 odeur forte
Simple à tester
dans un placard
Régularité chronophage 1,5 / 3
Chimiques prêts à l’emploi
(sprays, gels, granulés)
🟠 ≈ 48 €/m² ⏱️ 3 min / zone
♻️ recharges
2–10 j ⚠️ ingestion possible
🚫 surfaces poreuses
Odour “choc” immédiat Coût récurrent élevé 2,0 / 3
Ultrasons
(20-80 kHz, 45–60 dB)
🟡 ≈ 17 €/m² 🔌 1 min : brancher
⚙️ viser zone dégagée
Illimitée*
(conso < 5 W)
⚠️ NAC & chiens
à surveiller
Zéro odeur, zéro poison N’aime pas les meubles
& murs épais
1,5 / 3
Électromagnétiques
(variation 0-100 kHz intra-mur)
🟠 ≈ 25 €/m² 🔌 même geste que
l’ultrason
Illimitée* ✅ aucune émission
dans l’air
Cible les doublages
muraux
Effet non prouvé / hétérogène 1,0 / 3
Barrières physiques
(laine d’acier, grillage, gaines…)
🟢 ≈ 4 €/m² 🛠️ 15 min / trou
🔩 fixation durable
> 10 ans ✅ 100 % safe Bouche l’accès = 0 intrusion Travail manuel
et visuel
2,5 / 3
Recettes maison
(vinaigre, coton HE, ail…)
🟢 ≈ 6 €/m² ⏱️ 10 min
🩺 dosage aléatoire
6–48 h ⚠️ irritations, taches Coût quasi nul Très éphémère 0,5 / 3

🟢 faible  |  🟡 modéré  |  🟠 élevé

Budget estimé pour 20 m² protégés en continu.
Score établi d’après interventions Solution Nuisible 2024-2025 (0 = inutile, 3 = très dissuasif seul).

Olfactifs naturels (huiles essentielles, plantes fraîches)
Budget 12 mois*🟡 ≈ 22 €/m²
Pose / difficulté5 min/zone · placement précis
Autonomie sans entretien6 – 24 h
Compatibilité foyer⚠️ HE toxiques chats
Atout décisifTest simple dans placard
Limite majeureEntretien chronophage
Score efficacité1,5 / 3
Chimiques prêts à l’emploi (sprays, gels, granulés)
Budget 12 mois*🟠 ≈ 48 €/m²
Pose / difficulté3 min/zone · recharges
Autonomie sans entretien2 – 10 jours
Compatibilité foyer⚠️ ingestion possible
Atout décisifOdeur “choc” immédiate
Limite majeureCoût récurrent élevé
Score efficacité2,0 / 3
Ultrasons (20 – 80 kHz)
Budget 12 mois*🟡 ≈ 17 €/m²
Pose / difficulté1 min · viser zone dégagée
Autonomie sans entretienIllimitée* (conso < 5 W)
Compatibilité foyer⚠️ chiens & NAC sensibles
Atout décisifZéro odeur / poison
Limite majeureMurs & meubles bloquants
Score efficacité1,5 / 3
Électromagnétiques (impulsions intra-mur)
Budget 12 mois*🟠 ≈ 25 €/m²
Pose / difficulté1 min · comme ultrason
Autonomie sans entretienIllimitée*
Compatibilité foyer✅ aucune émission aérienne
Atout décisifCible doublages muraux
Limite majeureEffet non prouvé
Score efficacité1,0 / 3
Barrières physiques (laine d’acier, grillage…)
Budget 12 mois*🟢 ≈ 4 €/m²
Pose / difficulté15 min/trou · fixation
Autonomie sans entretien> 10 ans
Compatibilité foyer✅ 100 % sûr
Atout décisifBloque l’accès
Limite majeureTravail manuel
Score efficacité2,5 / 3
Recettes maison (vinaigre, coton HE…)
Budget 12 mois*🟢 ≈ 6 €/m²
Pose / difficulté10 min · dosage aléatoire
Autonomie sans entretien6 – 48 h
Compatibilité foyer⚠️ irritations, taches
Atout décisifCoût quasi nul
Limite majeureTrès éphémère
Score efficacité0,5 / 3

🟢 faible | 🟡 modéré | 🟠 élevé  •  *Budget simulé pour une zone continue de 20 m².

Répulsifs anti-souris : une aide ponctuelle, mais jamais suffisante face à une véritable infestation

Sur le papier, les répulsifs souris semblent offrir une alternative simple et sans danger pour éloigner les rongeurs : odeurs végétales, ultrasons, vibrations, ondes électromagnétiques… Le marché promet une solution “miracle” à brancher ou vaporiser en quelques secondes. Mais sur le terrain, aucun répulsif n’a jamais stoppé une infestation déjà installée. Au mieux, ces produits délogent temporairement une souris curieuse ; au pire, ils masquent le problème jusqu’à ce qu’il soit bien enraciné.

Quand des traces de grignotage, des excréments, des câbles rongés ou une activité nocturne sont repérés dans une pièce, l’urgence n’est plus à éloigner, mais à éliminer. Et c’est là que les pièges à souris, appâts et solutions professionnelles entrent en jeu.

Pour un particulier, il est légitime de commencer par des moyens simples. Les répulsifs peuvent alors jouer un rôle limité dans certaines conditions :

  • En prévention dans les zones à risque (celliers, garages, combles non isolés)
  • En soutien d’un traitement mécanique ou chimique (zones non accessibles)
  • En attente d’une intervention pro, pour limiter le passage temporairement

Mais même dans ces cas, leur efficacité dépend de dizaines de facteurs : humidité, température, odeurs concurrentes, type de support, densité de la population de souris, habitudes alimentaires, etc. Sur le terrain, nous constatons régulièrement que les souris s’habituent à un répulsif en 48 à 72 heures, surtout en présence de nourriture disponible.

En revanche, dès que l’on bascule dans une présence active de rongeurs (souris visibles en journée, bruits de course dans les cloisons, nids ou crottes repérés…), les répulsifs ne suffisent plus. C’est l’élimination complète qui devient prioritaire.

Trois grandes solutions s’offrent alors aux particuliers :

1. Le piège mécanique (tapette, piège à levier, piège capture)

Correctement positionné, il peut neutraliser une souris en quelques heures. Mais encore faut-il :

  • Identifier les chemins de passage réels (marques de gras, urines fluorescentes)
  • Choisir l’appât adapté à l’environnement (arachide, protéines, céréales)
  • Multiplier les pièges et les placer contre les murs, jamais au hasard

Une mauvaise implantation d’un piège = 0 capture. Sur 10 chantiers réalisés chez les particuliers, 8 pièges maison sont mal installés ou inopérants.

2. Les postes d’appâtage sécurisés

Ils contiennent un rodonticide ou un appât non toxique à effet retard. C’est la méthode utilisée en restauration ou en ERP (établissements recevant du public). Mais l’appât ne fait pas tout : c’est le positionnement, la rotation des postes et le choix de la molécule qui déterminent le succès.

Or, la législation actuelle (Règlement Biocides 528/2012) restreint l’accès des particuliers à ces produits : beaucoup de formulations sont désormais réservées aux professionnels certifiés.

3. La dératisation professionnelle par une entreprise de dératisation agréée : la seule solution réellement maîtrisée

Faire appel à une entreprise de dératisation, c’est :

  • Obtenir un diagnostic précis de la structure, des points d’entrée, des sources d’attractivité
  • Bénéficier d’un plan d’attaque adapté (nombre de postes, timing, appâts, nettoyage, colmatage)
  • Accéder à des produits réservés aux dératiseurs agréés (Type 14 et 19 – Anses)
  • Agir vite, en une à deux interventions quand le plan est bien mené
  • Éviter les intoxications ou les mauvais dosages (risques pour enfants, chats, chiens)

Un technicien terrain ne se contente pas de poser un appât au hasard. Il inspecte les faux-plafonds, traque les fuites de denrées, repère les trous de 1,5 cm dans les plinthes, suit les câbles, détecte les passages invisibles… Tout ce qu’aucun produit en spray ou en prise ne pourra jamais faire.

🛑 Une infestation traitée uniquement par répulsif, c’est 99 % de risque que le problème s’aggrave dans les semaines suivantes. Les souris apprennent, s’adaptent, et reviennent.

Les répulsifs souris peuvent avoir un rôle symbolique ou complémentaire, mais ne doivent jamais être considérés comme une solution principale dès que des signes d’infestation apparaissent. L’urgence est alors d’agir, et d’agir bien. Pièges adaptés, appâts sécurisés, analyse comportementale : tout cela demande un savoir-faire que seul un professionnel formé peut garantir.

Perdre du temps avec un répulsif inefficace, c’est prendre le risque d’une colonie installée et bien plus difficile à éliminer.

Une souris aujourd’hui, c’est peut-être 10 rongeurs dans trois semaines. Si vous avez le moindre doute, faites comme des centaines de Français chaque mois : contactez un dératiseur Solution Nuisible.

Solutions Visibles : quand un répulsif souris retarde l’inévitable, la dératisation experte s’impose

Un spray mentholé ou un ultrason bien placé peut détourner une souris isolée, mais il n’arrêtera jamais une colonie affamée : ces rongeurs apprennent vite, contournent l’odeur et reviennent dès que l’effet faiblit. Résultat ? Temps perdu, argent gaspillé, meubles toujours rongés.

Parce qu’une souris peut mettre bas cinq portées par an et développer une résistance comportementale, la seule réponse durable reste l’intervention d’un dératiseur. Notre réseau Solutions Visibles mobilise des techniciens certifiés pour supprimer l’infestation au lieu de la repousser.

  • Dératiseurs formés & expérimentés : compréhension fine du comportement souris, détection des nids invisibles.
  • Produits & matériel 100 % professionnels : appâts homologués Type 14/19 Anses, stations sécurisées, capteur d’activité.
  • Réseau national de partenaires locaux : intervention sous 24 h partout en France métropolitaine.
  • Méthode rapide et ciblée : pose optimale des pièges, fermeture des points d’entrée, contrôle jusqu’à éradication.
  • Devis téléphonique gratuit, immédiat, sans engagement : évaluation précise des volumes, tarif clair, conseils personnalisés.

Pour obtenir votre devis ou planifier immédiatement une intervention, contactez-nous par téléphone au 06 22 35 16 29. Si vous souhaitez être rappelé selon vos disponibilités ou en dehors de nos horaires d’ouverture, remplissez le formulaire de rappel : un dératiseur Solutions Visibles vous contactera rapidement.

? Questions – Réponses (FAQ)

Les répulsifs anti-souris sont-ils efficaces aussi contre les rats ?

Un répulsif pour souris n’est pas automatiquement un répulsif pour les rats. Ces deux rongeurs ne réagissent pas toujours aux mêmes stimuli : les rats sont souvent plus méfiants, plus résistants, et leur seuil de tolérance aux odeurs ou aux sons est différent. Certains répulsifs très efficaces contre les souris n’ont aucun effet sur un rat adulte. Si la présence de rats est confirmée, mieux vaut utiliser un répulsif spécialement formulé pour les rats (RépulsifRat) ou faire appel à un professionnel.

Peut-on utiliser un répulsif souris dans une voiture ou un camping-car ?

Oui, mais avec précaution. Les répulsifs olfactifs naturels (menthe, laurier, eucalyptus) peuvent être placés dans des coupelles ou sur des tissus à l’intérieur du véhicule. Ils doivent être renouvelés régulièrement et ne pas entrer en contact avec les surfaces fragiles. Les appareils à ultrasons sur batterie existent, mais leur portée est très limitée. En cas d’activité récurrente, il est recommandé de protéger les câbles et d’isoler les accès sous le capot.

Le froid ou la chaleur extrême influencent-ils l’efficacité d’un répulsif ?

Oui. Les conditions climatiques jouent un rôle majeur. Par temps froid, les gels se figent et diffusent moins. Par forte chaleur, certains produits peuvent s’évaporer trop vite ou fondre. Les huiles essentielles perdent leur efficacité en plein soleil ou dans une pièce surchauffée. Les appareils électriques sont aussi sensibles à l’humidité ou aux variations de température si le matériel n’est pas prévu pour cela. Il faut donc adapter le type de répulsif à l’environnement pour qu’il reste efficace.

Est-ce que les répulsifs attirent parfois d’autres animaux ?

Dans certains cas, oui. Les répulsifs à base de plantes ou d’huiles essentielles peuvent parfois intriguer les chats, les chiens ou les insectes, surtout s’ils sont curieux ou sensibles aux odeurs. Toutefois, l’effet est rare et l’odeur est généralement trop forte pour attirer durablement. Il est conseillé de tester le produit dans une pièce fermée avant usage en zone partagée avec des animaux domestiques.

Un répulsif peut-il être utilisé dans un local professionnel ?

Oui, mais tout dépend de l’activité exercée. Dans un commerce alimentaire ou un bureau, il faut choisir un répulsif discret, sans odeur gênante, ni émission sonore audible. Les répulsifs à ultrasons certifiés ou les barrières physiques (plinthes, gaines, laine d’acier) sont souvent préférés. Pour les ERP ou établissements soumis à contrôle sanitaire, mieux vaut opter pour des produits conformes aux normes HACCP ou validés par un professionnel.

Peut-on combiner répulsifs et pièges ?

Oui, et c’est même recommandé. Un répulsif va éloigner les souris de certaines zones, tandis que les pièges permettent de capturer celles qui contournent le dispositif. Il faut cependant éviter de placer les pièges trop près d’un répulsif olfactif : l’odeur pourrait masquer l’appât ou détourner la souris. L’idéal est de répulsif dans les zones d’entrée, et pièges sur les trajets probables.

Peut-on installer un répulsif dans un faux plafond sans devoir démonter les plaques ?

Oui, mais cela dépend du type de répulsif. Pour les appareils à ultrasons ou électromagnétiques, la pose directe dans un faux plafond fermé est inefficace : les ondes ne traversent pas les matériaux. En revanche, il est possible de glisser des sachets répulsifs, du laurier, ou des cotons imbibés d’huiles essentielles par les aérations ou trappes techniques. Il faut s’assurer que le produit ne risque pas de tomber ou d’altérer l’isolation.

Comment protéger les câbles d’une voiture stationnée dehors sans utiliser de poison ?

Le plus simple est d’utiliser un répulsif olfactif naturel sous le capot : menthe poivrée ou huiles à l’eucalyptus déposées sur des chiffons (loin des parties chaudes). Il existe aussi des sprays répulsifs spécifiques anti-rongeurs pour câbles auto, sans poison, souvent utilisés par les garagistes. Pour renforcer la protection, certains installent des gaines anti-rongeurs ou des filets en inox autour des faisceaux. L’idéal est de combiner odeur et barrière physique.

Peut-on combiner plusieurs types de répulsifs différents dans une même pièce sans interférence ?

Oui, à condition de bien les positionner. Les ultrasons, les répulsifs olfactifs et les barrières physiques peuvent se compléter sans se gêner. Il faut simplement éviter la surcharge olfactive</strong (ex. : menthe + vinaigre + girofle dans 10 m²) qui pourrait être désagréable pour les habitants. Il est conseillé de tester les produits progressivement et de vérifier s’il y a une gêne auditive ou respiratoire. Le combo idéal : ultrason côté passage, odeur sur les zones sensibles, et laine d’acier sur les accès.

Logo Solution Nuisible

Devis & traitement 7j/7
partout en France
Du lundi au samedi : 8h à 21h
Dimanche : 10h à 21h
2 numéros non surtaxés :
09 70 79 79 79
06 22 35 16 29
Être rappelé

Entreprise & professionnel anti nuisible dératisation dépigeonnage désinfection désinsectisation

Catégories Blog

Derniers articles

Identifier, localiser et éliminer un nid de souris chez soi

Identifier, localiser et éliminer un nid de souris chez soi

Comme tout être vivant, les souris ont besoin d'un abri pour se protéger et se reproduire, un lieu où elles se sentent en sécurité. Malheureusement, leurs nids peuvent souvent se trouver dans nos habitations, bien cachés et difficiles à détecter. Ces nids deviennent...

lire plus
Souris dans la maison : signification et quoi faire ? Les priver de ce qui les attire et prévention pour les empêcher d’entrer

Souris dans la maison : signification et quoi faire ? Les priver de ce qui les attire et prévention pour les empêcher d’entrer

La présence de souris peut causer des soucis sanitaires et matériels, il est donc crucial d’agir rapidement pour prévenir leur apparition ou les éradiquer. Afin d’éviter leur présence, il est primordial de boucher les crevasses et les ouvertures, et de priver ces rongeurs de leurs besoins essentiels, tels que la nourriture, l’eau, l’abri et la chaleur. Il est conseillé de contacter une société spécialisée en dératisation dès que vous détectez leur présence, pour empêcher une prolifération coûteuse .

lire plus
Poison Souris et Souricide : Les appâts efficaces

Poison Souris et Souricide : Les appâts efficaces

Pour éliminer les souris, plusieurs méthodes sont proposées, avec ou sans poison. Les pièges sans poison comprennent les tapettes, les pièges électriques, les souricières et les pièges à glu. En cas d’infestation importante, les pièges à souris avec poison, appelés souricides, sont recommandés. Néanmoins, il est important de prendre des précautions pour éviter l’ingestion accidentelle par les humains ou les animaux domestiques. Si le problème persiste malgré ces méthodes, l’intervention de professionnels peut être nécessaire pour un traitement efficace et durable.

lire plus
Comment choisir le meilleur piège à souris ?

Comment choisir le meilleur piège à souris ?

Les méthodes traditionnelles d’élimination des souris, comme les tapettes, sont efficaces mais présentent des risques pour les animaux domestiques. Les pièges électroniques constituent une alternative rapide, indolore et écologique, idéale pour les maisons avec des animaux de compagnie. Les trappes à souris capturent les rongeurs sans les tuer, offrant ainsi une approche plus respectueuse. Quant au piège à glu, bien qu’étant simple d’utilisation, il est recommandé de faire appel à un dératiseur professionnel en cas d’infestation majeure.

lire plus
Souris dans la maison : Dans quelles pièces les trouver

Souris dans la maison : Dans quelles pièces les trouver

Les souris, étant d’excellentes infiltratrices, peuvent s’installer dans diverses pièces de la maison, notamment la cuisine, le vide sanitaire, les conduits d’aération, les murs et les plafonds. Leur présence pose des problèmes matériels et sanitaires. Pour les localiser, il faut être attentif aux bruits et aux crottes qu’elles laissent sur le sol. Il est possible de tenter d’éliminer les souris par soi-même, mais la méthode la plus efficace et radicale reste de faire appel à un dératiseur professionnel, qui évaluera l’étendue de l’infestation et mettra en place un protocole d’intervention adapté.

lire plus
Se débarrasser des souris : Les meilleures solutions !

Se débarrasser des souris : Les meilleures solutions !

Pour se débarrasser des souris dans la maison, plusieurs méthodes sont proposées, allant des remèdes naturels aux produits rodenticides. Les méthodes naturelles incluent l’utilisation de litière de chat comme répulsif et le bicarbonate de soude, tandis que les ultrasons représentent une alternative non chimique. Toutefois, ces solutions peuvent s’avérer insuffisantes ou présenter des inconvénients. Ainsi, faire appel à des professionnels de la dératisation garantit un traitement adapté et efficace pour éliminer les souris.

lire plus
Souris chez soi : Quels sont les dégâts et les risques ?

Souris chez soi : Quels sont les dégâts et les risques ?

Les souris, attirées par la nourriture et cherchant des abris secs et sécurisés, s’installent dans les habitations durant l’hiver, causant des problèmes matériels, esthétiques, sanitaires et psychologiques. Elles peuvent endommager les structures en rongeant les matériaux, provoquant des courts-circuits et des incendies. Les traces de gras laissées sur les murs révèlent leur présence, tandis qu’elles propagent des maladies telles que la salmonellose, la leptospirose et l’Hantavirus. Pour lutter contre ces nuisibles, il est recommandé de contacter un dératiseur agréé afin d’éliminer l’infestation rapidement et efficacement.

lire plus
Des crottes de souris trouvées par-ci par là ?Identification photo, risques et que faire ?

Des crottes de souris trouvées par-ci par là ?
Identification photo, risques et que faire ?

La présence de souris dans une habitation peut être détectée en observant des indices tels que des crottes, des bruits durant la nuit et des mauvaises odeurs. Les crottes de souris sont noires, ressemblent à de gros grains de riz et mesurent entre 3 et 7 mm de longueur. Il est important d’agir rapidement en cas d’infestation, car les souris peuvent causer des problèmes de santé et des traumatismes psychologiques pour les occupants de la maison.

lire plus

0 commentaires

Soumettre un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

4,8 391 reviews

  • Merci beaucoup pour le professionnalisme de cette société. L'intervention rapide et, surtout, efficace!!!

    Lolita Sakalauskaite Avatar Lolita Sakalauskaite
    2 mai 2025

    J'ai fais appel à eux en décembre car j'avais des rats dans mon grenier. J'ai eu un rappel dans l'heure et une intervention le lendemain. On m'avait annoncé un délai... Lire plus

    julien emard Avatar julien emard
    23 janvier 2025

    J'ai fais appel à eux en décembre car j'avais des rats dans mon grenier. J'ai eu un rappel dans l'heure et une intervention le lendemain. On m'avait annoncé un délai de 10... Lire plus

    julien emard Avatar julien emard
    23 janvier 2025

    Très efficace, société à l’écoute, je recommande .

    neghli yasmine Avatar neghli yasmine
    22 janvier 2025

    Entreprise sérieuse qui est intervenue suite a une invasion de punaises et de cafards. Problème résolu rapidement et de manière efficace et pérenne . A l'écoute et sympathique . Je... Lire plus

    deep “deepblue78” blue78 Avatar deep “deepblue78” blue78
    8 novembre 2024

    Rdv très rapide Travail de professionnel Personne très sérieuse Je recommande

    Thérèse Fortemps Avatar Thérèse Fortemps
    23 octobre 2024

    Équipe très réactive et professionnelle. J'ai appelé le mercredi soir, ils ont venus le jeudi matin pour diagnostic et traité ce jour pour une invasion souris ou rat dans le... Lire plus

    Franck Briere Avatar Franck Briere
    13 octobre 2024

    Cette note est donnée en référence à votre site internet. Malheureusement, vous êtes trop loin pour vos services en personne. Merci pour votre site internet, ça m'a bcoup aidé à... Lire plus

    Jess R. Avatar Jess R.
    13 octobre 2024
  • 67470 seltz

    France BASQUE Avatar France BASQUE
    13 octobre 2024

    Rdv très rapide Travail de professionnel Personne très sérieuse Je recommande

    Thérèse Fortemps Avatar Thérèse Fortemps
    13 octobre 2024

    Super entreprise ( Virginie )

    Gilbert Avatar Gilbert
    11 septembre 2024

    Intervention très rapide sur nid de frelons asiatiques le samedi 31aout 2024. Travail très professionnel, personne très consienceuse et fort agréable. Je Lee conseille fortement

    Marco anne Avatar Marco anne
    4 septembre 2024

    Je me suis tournée vers Solution-Nuisible.fr alors que j'étais en détresse suite à la prestation d'une autre société très peu recommandable qui a tenté de me soutirer + de 1000€... Lire plus

    Sonia Ouaksel Avatar Sonia Ouaksel
    28 août 2024

    Je me suis tournée vers Solution-Nuisible.fr alors que j'étais en détresse suite à la prestation d'une autre société très peu recommandable qui a tenté de me soutirer + de 1000€... Lire plus

    Sonia Ouaksel Avatar Sonia Ouaksel
    23 août 2024

    J’ai dû faire appel à solution nuisible suite à une location saisonnière. Une suspicion de piqûres de punaises de lit dans mon logement. Un expert est intervenu en moins de 24h,... Lire plus

    Céline PICOT Avatar Céline PICOT
    23 août 2024

    L intervenant très agréable , très professionnel, je vous le recommande. Grand merci

    Bouli Avatar Bouli
    23 août 2024
  • Merci pour votre prestation, intervention rapide et efficace (moins de 24 heures entre la prise de rendez vous et l'intervention) un technicien professionnel et à l'écoute, je recommande cette entreprise.

    JC 58 Claudius Avatar JC 58 Claudius
    21 août 2024

    J’ai dû faire appel à solution nuisible suite à une location saisonnière. Une suspicion de piqûres de punaises de lit dans mon logement. Un expert est intervenu en moins de... Lire plus

    Céline PICOT Avatar Céline PICOT
    18 août 2024

    L intervenant très agréable , très professionnel, je vous le recommande. Grand merci

    Bouli Avatar Bouli
    18 août 2024

    Intervention rapide, très professionnelle et efficace sur un nid de frelon asiatique. Intervention rapide. Bonne communication : le technicien a expliqué son intervention. La garantie de deux ans est très... Lire plus

    hervis derevel Avatar hervis derevel
    11 juillet 2024

    Personnel très sympathique et très explicatif j’ai apprécié sa présence il m’a donner des conseils afin d’éviter que sa se reproduise. Si je devait recommencer je n’hésiterai pas et je vous... Lire plus

    Julie Petrop Avatar Julie Petrop
    23 mai 2024

    Excellente rapidité et efficace Très à l'écoute et le résultat est bluffant je n'ai plus rien Je recommande sans hésitation cet établissement.

    Céline GUEDON Avatar Céline GUEDON
    23 mai 2024

    L’intervention s’est très bien passée. Le spécialiste très agréable. Merci encore 🙂

    Maurane Bodevin Avatar Maurane Bodevin
    23 mai 2024

    Nous sommes très contents de la rapidité et du travail effectué par la société. Travail sérieux, je recommande vivement !

    Dylan Dassie Avatar Dylan Dassie
    23 mai 2024
  • DEUX TECHNICIENS A L'HEURE PREVUE COMPÉTENTS, AIMABLES, REPONDANT AUX QUESTIONS ET DONNANT DE PRECIEUX CONSEILS. TOP ENTREPRISE A CINSEILLER

    Thierry Lacarriere Avatar Thierry Lacarriere
    23 mai 2024

    Entreprise très professionnelle, ainsi que le personnel qui s'est déplacé. Rdv rapide et intervention au top👍. Je peux enfin dormir tranquille !!

    Laurence Avatar Laurence
    23 mai 2024

    contact par téléphone agréable, il s'est déplacé très rapidement pour des problèmes de fourmis. bon travail et la personne et professionnel et compétence. je recommande

    fr farouk Avatar fr farouk
    23 mai 2024

    R.A.S , intervention rapide et efficace , je ne peux que recommander.

    N. D. Avatar N. D.
    23 mai 2024

    Intervention très professionnelle et technicien très sympa. Je recommande

    BESNIER CATHERINE Avatar BESNIER CATHERINE
    23 mai 2024

    Ce professionnel a été réactif, il est intervenu très rapidement et fait du bon travail. Nous avions vu 2 nids de chenilles processionnaires, il en a supprimé 12 ! ... Lire plus

    BOUCARD-PAJOT Isabelle Avatar BOUCARD-PAJOT Isabelle
    23 mai 2024

    Réponse rapide et intervention qui semble efficace. Pas de soucis particulier, technicien disponible. Je recommande

    Marine saboua Avatar Marine saboua
    23 mai 2024

    Facile, efficace et competent Bravo et merci a l'intervenant.

    Franck Morin Avatar Franck Morin
    23 mai 2024

Besoin de connaître le prix d'un traitement ?

Chaque situation nécessite un diagnostic personnalisé.
La meilleure façon d'obtenir un devis téléphonique immédiat, gratuit et sans engagement est d'en parler à votre expert :

Dès maintenant 7J/7
Du lundi au samedi de 8h à 21h
Dimanche de 10h à 21h

Contactez le technicien (non surtaxé)

Contactez le standard (non surtaxé)

Rappel à votre convenance ou dès l'ouverture
En dehors de ces horaires via ce formulaire

    (nuisible, insecte, piqûres, lieu à traiter...)

    * Vérifiez votre téléphone et validez