Que mangent les souris ? Ce qui déclenche l’invasion, et ce qui l’alimente

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par Solution Nuisible | 7 Juil 2025

Une mie de pain à demi entamée au bord de la table. Un sachet de céréales discrètement perforé dans le placard. À peine visibles, ces traces révèlent la visite d’un hôte qui opère quand la maison s’endort.

Silencieuse, rapide, la souris transforme la moindre étagère en réserve personnelle. Elle se glisse entre les boîtes, prélève une graine, disparaît, revient quelques minutes plus tard. Sans un bruit, elle bâtit son menu dans l’ombre de nos cuisines.

D’où vient exactement son attirance pour nos provisions ? Quelles saveurs l’emportent entre le sucré et le salé ? Le célèbre morceau de fromage est-il vraiment irrésistible ? Autant de questions qui invitent à comprendre la véritable assiette de ce discret grignoteur nocturne.

Sommaire

Nutrition et alimentation : quel régime alimentaire pour le métabolisme intense des souris ?

Avant de parler précisément de ce que mange une souris, il est crucial de comprendre comment fonctionne son organisme. Petite, agile et particulièrement active, elle ne cesse jamais vraiment de chercher sa nourriture. Cette quête perpétuelle est directement liée à ses besoins nutritionnels spécifiques.

Une omnivore au petit appétit (3-5 g par jour)

La souris est un animal omnivore à tendance granivore : elle mange principalement des graines, mais ne néglige pas pour autant les insectes ou les petits aliments d’origine animale lorsqu’elle en trouve sur son chemin. Malgré son apparence constamment occupée à grignoter, elle ne consomme qu’une très petite quantité par jour, en moyenne seulement 3 à 5 grammes de nourriture.

Ce faible apport quantitatif est compensé par une fréquence élevée de repas. Selon les relevés terrain, une souris peut effectuer jusqu’à 15 à 20 prises alimentaires chaque nuit. Pourquoi tant de repas ? La réponse se trouve dans son métabolisme extrêmement rapide : elle brûle beaucoup de calories proportionnellement à sa taille minuscule et doit donc se nourrir régulièrement pour maintenir son niveau d’énergie.

De plus, l’hydratation est essentielle à sa survie : une souris adulte doit absorber environ 5 ml d’eau par jour, soit directement sous forme d’eau libre, soit par l’intermédiaire d’aliments frais riches en eau. Ce besoin quotidien en eau est vital : une souris peut survivre environ une semaine sans manger, mais rarement plus de quelques jours sans hydratation suffisante.

🟡 Une souris qui ne trouve pas facilement de l’eau libre va privilégier des aliments riches en humidité comme les fruits frais ou les légumes pour compenser son besoin hydrique quotidien.

Ce que son organisme réclame

Les souris ne choisissent pas leur nourriture au hasard. Leur organisme réclame précisément certains nutriments essentiels pour maintenir leur énergie et assurer leur développement optimal. Selon les standards d’alimentation des Nouveaux Animaux de Compagnie (NAC), confirmés par plusieurs études spécialisées, une souris en bonne santé a besoin d’un régime composé d’environ 15 % de protéines, 5 % de lipides, le reste étant principalement constitué de glucides et de fibres.

Dans son habitat naturel, elle trouve facilement ces nutriments grâce à un régime mixte végétal-animal. Graines, céréales, baies, racines et petits insectes constituent alors une base parfaite pour répondre à ses exigences nutritives précises.

Autre besoin vital de son organisme : l’usure régulière de ses dents. Les incisives d’une souris poussent en continu, nécessitant un rongement constant. Cette particularité explique pourquoi elle grignote presque sans interruption, contribuant ainsi à maintenir une bonne santé dentaire tout en répondant à ses besoins énergétiques.

Enfin, le rythme biologique nocturne de la souris influence fortement son comportement alimentaire. C’est principalement de nuit qu’elle s’active, recherche sa nourriture et prend ses nombreux repas fractionnés, exploitant la discrétion offerte par l’obscurité pour limiter les risques liés aux prédateurs et maximiser son efficacité.

🟤 Sur le terrain, il n’est pas rare de retrouver des fils électriques ou des cartons grignotés : une preuve directe que les souris cherchent activement à user leurs dents, même en l’absence d’aliments comestibles à proximité immédiate.

Que mangent les souris dans la nature ? (aliments naturels)

Pour comprendre pourquoi les souris viennent chez nous, il est utile d’abord de connaître précisément leur alimentation naturelle. Dans la nature, loin de l’influence humaine, elles trouvent tout ce dont elles ont besoin pour survivre en s’adaptant aux saisons.

Graines et céréales : leur nourriture principale

Les souris sauvages consomment principalement des graines et céréales. Parmi leurs préférées, on retrouve notamment le blé, l’orge, le maïs et les graines de tournesol. Grâce à leurs dents incisives très efficaces, elles décortiquent rapidement ces graines pour en extraire les parties comestibles riches en énergie et en matières grasses.

Elles consacrent beaucoup de temps à la collecte de ces graines pour constituer des réserves dans leurs terriers. Ces stocks alimentaires leur permettent de survivre lors des périodes hivernales où la nourriture se fait plus rare.

🟡 Une seule souris peut stocker plusieurs centaines de graines dans son terrier, assurant ainsi une réserve alimentaire durable pour les périodes difficiles.

Fruits, baies et végétaux : une alimentation complémentaire

En complément des graines, les souris sauvages mangent régulièrement des fruits et des baies trouvés au sol ou sur les plantes basses. Elles apprécient particulièrement les baies sauvages comme les mûres, les framboises ou encore les fruits tombés des arbres tels que les pommes. Ces aliments leur fournissent des sucres naturels, mais surtout une hydratation indispensable à leur survie.

Elles consomment aussi une variété de végétaux comme des feuilles tendres, des jeunes pousses, des racines et même certains champignons. Par exemple, en automne, elles profitent abondamment des champignons forestiers, très nutritifs, tandis que les racines de graminées leur assurent un apport régulier en fibres et minéraux toute l’année.

🟢 Les fruits sauvages et les végétaux consommés par les souris contiennent souvent des composés naturels bénéfiques, comme les antioxydants qui renforcent leur santé générale.

Insectes et petites proies : une source secondaire de protéines

Bien que principalement granivores, les souris n’hésitent pas à consommer des insectes lorsqu’elles en trouvent. Elles capturent facilement des petits insectes tels que des coléoptères, des chenilles et des vers de terre. Ces proies représentent une source importante de protéines animales, particulièrement précieuses durant les périodes où les graines sont rares.

Plus rarement, certaines souris peuvent aussi manger de très petits vertébrés morts qu’elles découvrent sur leur chemin, comme de petits lézards. Ce comportement est un exemple frappant de leur capacité à s’adapter à toutes les situations pour survivre.

Adaptation saisonnière : une stratégie alimentaire efficace

Les souris sauvages possèdent une grande capacité à adapter leur régime alimentaire selon les saisons et les ressources disponibles. Par exemple, durant l’été, elles se nourrissent principalement de fruits frais et de végétaux riches en eau. En hiver, elles consomment davantage de graines, qu’elles ont pris soin de stocker préalablement dans leurs terriers.

Cette stratégie d’adaptation leur permet de traverser efficacement les périodes difficiles en limitant les risques de famine. Leur capacité à mémoriser précisément l’emplacement de chaque réserve alimentaire est essentielle à leur survie tout au long de l’année.

🟤 Les souris sauvages sont capables de reconnaître et retrouver des dizaines de cachettes différentes, démontrant une mémoire spatiale exceptionnelle qui facilite leur adaptation saisonnière.

Que mangent les souris près de chez nous ? (nourriture d’origine humaine)

Lorsqu’elles vivent à proximité des humains, les souris profitent largement des aliments que nous laissons à leur portée. Contrairement à leur régime naturel, leur alimentation dans nos habitations est beaucoup plus diversifiée et facile d’accès, expliquant leur attirance pour nos maisons et appartements.

Dans nos maisons et greniers : une alimentation variée et facile d’accès

Dans les maisons et les greniers, les souris trouvent une nourriture abondante et très variée. Elles profitent souvent des aliments laissés sans surveillance, tels que les miettes de pain, les restes de pâtes ou de riz, ainsi que les céréales du petit-déjeuner qui restent ouvertes dans nos placards.

Parmi les aliments favoris des souris, on retrouve surtout :

  • Biscuits : très sucrés et faciles à grignoter.
  • Chocolat : fortement odorant et calorique, irrésistible pour elles.
  • Beurre de cacahuète : leur appât préféré, grâce à son odeur forte et sa richesse calorique.
  • Croquettes pour chien ou chat : très attractives à cause de leur teneur élevée en protéines et en graisses.

Elles n’hésitent pas à ronger les emballages alimentaires en carton ou en plastique pour atteindre leur nourriture, ce qui entraîne des contaminations et des dégâts matériels importants. Souvent, elles souillent davantage d’aliments qu’elles n’en consomment réellement, posant un véritable problème sanitaire.

🔴 Une seule souris peut contaminer dix fois plus d’aliments qu’elle n’en mange réellement, augmentant ainsi considérablement les risques sanitaires dans votre maison.

Dans les granges et entrepôts : une alimentation abondante à base de céréales

Dans les granges et entrepôts agricoles, les souris trouvent exactement ce qu’elles recherchent pour répondre à leurs besoins alimentaires quotidiens : une abondance exceptionnelle de céréales et de graines. Ces bâtiments, destinés au stockage des récoltes humaines, constituent ainsi une véritable réserve alimentaire à disposition immédiate des souris.

En effet, parmi les aliments qu’elles affectionnent particulièrement dans ces lieux, on retrouve principalement :

  • Le blé, riche en glucides et facile à consommer, constitue un aliment énergétique très apprécié des souris.
  • Le maïs, grâce à sa haute teneur en amidon et sucres, est très recherché pour l’énergie qu’il fournit rapidement.
  • L’orge, particulièrement nutritive, est très fréquemment consommée par les souris, qui en apprécient le goût et la texture facile à décortiquer.
  • L’avoine, moins riche en sucres mais intéressante par sa teneur en fibres et protéines végétales.
  • Les graines de tournesol, très caloriques, elles représentent un aliment très attractif car extrêmement nourrissant.

Pour accéder à ces réserves alimentaires, les souris n’hésitent pas à percer et ronger les sacs de stockage en tissu ou en plastique, exploitant la moindre faiblesse des emballages pour prélever les grains. Elles ne se limitent pas à consommer directement ces céréales : souvent, elles transportent et stockent des quantités importantes de graines dans des endroits cachés à proximité, afin d’assurer leurs repas futurs. Ce comportement est typique des souris qui prévoient leurs réserves alimentaires pour les périodes plus froides où la nourriture devient plus rare.

🟡 Une souris adulte peut facilement transporter et stocker jusqu’à plusieurs dizaines de graines par nuit, garantissant ainsi ses réserves alimentaires pour plusieurs jours en cas de besoin.

Les granges et entrepôts deviennent alors un lieu privilégié pour les souris, car ils leur assurent une source constante et sécurisée d’alimentation, ce qui explique leur présence fréquente dans ces espaces.

Dans les villes et poubelles : la nourriture quotidienne des souris urbaines

Dans nos rues, entre les immeubles ou à proximité des restaurants, les souris ont parfaitement adapté leur régime alimentaire à ce que nous jetons chaque jour. Il suffit d’une poubelle légèrement entrouverte derrière un immeuble, ou d’un conteneur laissé ouvert près d’une pizzeria ou d’un fast-food, pour qu’elles puissent accéder facilement à une nourriture abondante.

Elles fouillent surtout les déchets organiques, ces restes que les Français jettent quotidiennement à la poubelle :

  • Épluchures de légumes et fruits (pommes de terre, carottes, pommes, bananes, poires, melons, etc.), riches en fibres et en sucres naturels.
  • Restes de repas faits maison : morceaux de pâtes, riz, purée, miettes de pain, sauces, restes de viandes ou poissons, souvent très nutritifs.
  • Produits périmés ou avariés comme yaourts ouverts, fromages rassis ou moisis, jambon ou charcuteries passées de date, très odorants et attractifs pour elles.
  • Restes de restauration rapide : frites froides, morceaux de hamburger, nuggets, pizza, restes de sandwichs, sauces grasses ou sucrées, faciles d’accès dans les sacs jetés.
  • Pâtisseries et sucreries : viennoiseries rassies, biscuits cassés, barres chocolatées entamées, très caloriques et énergétiques.
  • Déchets alimentaires liquides ou semi-liquides : soupes, compotes, desserts lactés, crèmes, qui leur assurent aussi une hydratation complémentaire.

Les souris urbaines profitent particulièrement des poubelles des restaurants ou des snacks, car ces établissements jettent quotidiennement des aliments très caloriques et faciles à atteindre. Il suffit de quelques miettes de kebab ou d’une portion de frites froides jetée à la hâte, pour qu’une souris puisse y trouver un repas complet. Ces déchets, riches en sucres et en graisses, leur assurent l’énergie nécessaire à leur métabolisme rapide.

En milieu urbain, les déchets alimentaires représentent jusqu’à 70 % de ce que consomment quotidiennement les souris. Sans nos ordures ménagères, elles auraient du mal à maintenir leur taux élevé de reproduction et à survivre aussi facilement.

🟡 Une souris urbaine peut trouver en une seule nuit jusqu’à 20 % de son poids en nourriture simplement en fouillant une poubelle domestique mal fermée.

C’est précisément cette alimentation constante et abondante, issue de notre quotidien, qui explique pourquoi les souris sont si présentes dans les grandes villes françaises. Chaque emballage oublié ou sac mal fermé leur garantit un repas facile et accessible, leur permettant de prospérer à proximité directe de nos habitations.

Ce qui les attire le plus chez nous : ces aliments du quotidien que les souris préfèrent vraiment

Lorsqu’une souris s’installe discrètement dans une maison , c’est rarement par hasard. Elle est là parce que certains aliments que nous consommons chaque jour lui offrent exactement ce qu’elle recherche : une odeur forte, une grande quantité de calories rapidement accessibles, et une texture facile à grignoter. Pour comprendre comment ces rongeurs choisissent précisément nos cuisines ou nos placards, il suffit d’observer ce que nous laissons traîner chaque jour sans forcément nous en rendre compte.

Parmi les aliments les plus attractifs pour les souris figurent avant tout ceux très sucrés ou très gras :

  • Le beurre de cacahuète : présent dans beaucoup de foyers français, surtout pour les enfants ou les sportifs. C’est de loin l’appât numéro un, car son odeur puissante, facilement identifiable par les souris à plusieurs mètres, s’accompagne d’une très forte teneur en graisses végétales et en sucres rapides. Une simple cuillère oubliée dans l’évier suffit parfois à attirer plusieurs souris en une nuit.
  • Le Nutella et autres pâtes à tartiner : on retrouve ces produits presque partout, du petit-déjeuner au goûter des enfants. Très gras, très sucrés, ils dégagent une odeur intense. Les souris adorent ronger les couvercles en plastique mal refermés pour accéder au contenu, même si le pot semble presque vide à nos yeux.
  • Les céréales sucrées : typiquement présentes dans les placards des cuisines françaises, elles sont souvent rangées dans leurs boîtes d’origine ou des sachets mal fermés. Pétales chocolatés, miel pops, ou corn-flakes au sucre sont particulièrement appréciés. Leur odeur sucrée, leur croquant facile à ronger et leur richesse énergétique en font un repas idéal pour une souris cherchant rapidement des calories.
  • Les biscuits, gâteaux et viennoiseries : croissants rassissants laissés sur la table du matin, biscuits sablés rangés dans un tiroir ou brioche industrielle ouverte et mal refermée sont autant de gourmandises particulièrement prisées par les souris. Riches en sucres et très caloriques, elles attirent immédiatement l’attention des rongeurs en quête d’énergie facile à stocker.
  • Les aliments gras et salés : chips oubliées dans un bol sur une table basse après l’apéritif, lardons ou morceaux de saucisson restés sur un plan de travail après une recette rapide. Les souris raffolent de ces aliments gras et protéinés, car leur forte odeur est facilement repérable, et leur haute teneur en lipides est idéale pour maintenir leur métabolisme rapide.
  • Le chocolat : souvent gardé dans nos placards à portée de main, tablettes ouvertes et mal emballées ou carrés oubliés près d’un canapé après une soirée devant la télévision. Le chocolat combine sucre et graisse, deux critères essentiels aux yeux des souris, et son odeur particulière les attire immédiatement.

Pourtant, contrairement à ce qu’on croit depuis longtemps, le fromage ne fait pas partie des aliments préférés des souris. Ce mythe populaire, souvent véhiculé par les dessins animés ou les publicités, est faux : en réalité, les souris ne trouvent pas le fromage très attractif, car son odeur trop forte peut même les rebuter. En plus, le fromage n’est ni assez sucré ni suffisamment riche en glucides rapides, ce que les souris recherchent en priorité pour faire face à leur besoin énergétique élevé. Certes, en situation de famine ou d’extrême nécessité, elles mangeront du fromage, mais jamais en premier choix si elles ont d’autres possibilités dans nos placards.

Une souris en cuisine

Leurs aliments préférés : ce que les souris aiment le plus

Comme nous, les souris ont leurs propres préférences alimentaires. Parmi tous les aliments disponibles dans nos placards, elles sélectionnent toujours en priorité ceux qui sont à la fois riches en calories, très odorants, ou particulièrement sucrés. Ces choix sont directement liés à leurs besoins énergétiques et à leur sens particulièrement développé de l’odorat, leur permettant d’identifier rapidement les aliments les plus intéressants pour leur survie.

Top 5 des gourmandises irrésistibles pour une souris

Voici les 5 aliments que les souris préfèrent largement, présentés par ordre de préférence :

  • Graines de tournesol et arachides : extrêmement appréciées grâce à leur très haute teneur en lipides, leur goût naturellement sucré et leur facilité à être transportées et stockées. Ces graines fournissent une grande quantité d’énergie très rapidement, essentielle au métabolisme très rapide des souris.
  • Beurre de cacahuète : considéré par tous les spécialistes anti-nuisibles comme l’appât ultime, c’est l’aliment numéro un pour attirer les souris. Sa forte odeur, sa richesse en matières grasses et sa saveur sucrée le rendent totalement irrésistible.
  • Céréales sucrées : maïs soufflé, blé tendre, flocons chocolatés ou céréales du petit-déjeuner pour enfants. Très énergétiques, riches en sucres rapides et en glucides complexes, ces céréales sont faciles à ronger et très rapidement assimilées par les souris.
  • Fruits secs : les raisins secs, les abricots secs ou encore les noix décortiquées. Très appréciés pour leur haute teneur en sucre naturel et en fibres, ils représentent une nourriture énergétique durable et très pratique à transporter vers leur nid.
  • Bonbons inattendus : les souris ne résistent jamais au chocolat ou aux biscuits laissés à leur portée. Ces aliments combinent tout ce qu’elles aiment : sucre concentré, odeur agréable, et facilité d’accès. Il suffit d’un morceau oublié sur une table pour qu’il disparaisse rapidement.

Ces préférences alimentaires des souris ne sont pas aléatoires : leur attirance pour le sucré s’explique par leur goût naturellement développé pour le glucose, tandis que leur incroyable odorat leur permet de détecter très vite les graisses et huiles, indispensables pour leur organisme très actif. Voilà pourquoi, face à plusieurs aliments disponibles, les souris choisiront toujours en priorité ceux qui répondent à ces deux critères essentiels.

En connaissant précisément leurs préférences, il devient plus facile de comprendre ce qui attire ces nuisibles chez nous et ainsi mieux prévenir leur intrusion dans nos habitations.

Ce que les souris dédaignent ou évitent : aliments boudés et réactions de méfiance

Si les souris sont opportunistes, elles n’avalent pas tout ce qu’elles croisent. Certaines odeurs ou textures les rebutent, même en situation de disette. C’est d’autant plus vrai dans les environnements domestiques où elles ont le choix : elles savent faire la fine bouche. Un comportement souvent sous-estimé.

Le fromage est le premier malentendu. Contrairement au cliché bien ancré, les souris ne raffolent pas de tous les fromages, et encore moins des plus forts. Un camembert affiné, un roquefort ou un maroilles auront tendance à les faire fuir : l’odeur est trop agressive et l’intérêt nutritionnel limité pour elles. Ce n’est pas une légende : de nombreux techniciens piègent plus efficacement avec du beurre de cacahuète qu’avec du gruyère.

Elles montrent aussi une certaine réticence envers les agrumes : orange, citron, pamplemousse… L’acidité et les huiles essentielles qu’ils dégagent créent une forme de rejet naturel. C’est d’ailleurs pour cela que certaines recettes de répulsifs maison misent sur le zeste ou le jus de citron : l’odeur fraîche et piquante agit comme une barrière olfactive, au moins temporairement.

En règle générale, tout ce qui manque de parfum ou paraît douteux est peu attractif. Une biscotte fade, du riz cuit nature, un légume froid sans sauce… ne déclenchent pas de frénésie alimentaire. Les souris privilégient ce qui émet une odeur riche, grasse ou sucrée. À l’inverse, les aliments secs, peu gras, et surtout peu odorants, restent souvent intacts.

Enfin, il ne faut pas oublier leur capacité à détecter certains produits potentiellement dangereux. Une souris est naturellement méfiante face à ce qu’elle ne connaît pas : c’est ce qu’on appelle la néophobie alimentaire. Si un aliment sent le produit chimique, la moisissure inhabituelle, ou présente une texture étrange, elle peut le renifler puis l’ignorer complètement. Ce réflexe de prudence rend parfois les appâts empoisonnés inefficaces, surtout s’ils ne sont pas dissimulés dans une matrice très appétente.

Quels aliments repoussent ou empoisonnent les souris ?

Si certaines denrées attirent immédiatement les souris, d’autres au contraire les rebutent ou peuvent gravement nuire à leur santé. Pour lutter efficacement contre ces rongeurs, il est essentiel de connaître les aliments qu’elles évitent ou qu’elles ne tolèrent pas.

Les aliments qu’elles fuient naturellement

Dans le quotidien d’une souris, tout ne se mange pas. Si ces rongeurs sont réputés pour leur curiosité alimentaire, ils montrent aussi un vrai discernement face à certains aliments. En réalité, leur odorat surdéveloppé leur sert de baromètre : dès qu’une odeur les incommode ou les inquiète, elles prennent leurs distances. Et cela, on le constate autant en ville que dans une maison ou un jardin.

Voici quelques types d’aliments que les souris tendent à éviter d’elles-mêmes :

  • Agrumes (citron, orange, pamplemousse…) : l’odeur acide de leur zeste semble désagréable pour leur museau. C’est d’ailleurs ce qui explique leur utilisation dans certains répulsifs naturels.
  • Fromages à pâte dure ou très affinés : contrairement au cliché du “souris-fromage”, beaucoup de variétés très odorantes (Roquefort, Comté sec, Parmesan) ne les attirent pas. L’odeur fermentée peut même les faire fuir.
  • Aliments insipides ou à faible odeur : une mie de pain rassis, des légumes cuits sans assaisonnement ou des féculents fades (pâtes froides nature) peuvent rester intacts. Si ça ne sent rien, elles n’en voient souvent pas l’intérêt.
  • Plantes fraîches amères ou piquantes : certaines feuilles aromatiques comme la menthe poivrée, la sauge ou l’eucalyptus ne sont pas ingérées et peuvent même jouer un rôle dissuasif autour des placards.

Ce rejet ne vient pas d’un “goût” à proprement parler, mais d’un mécanisme de méfiance innée. Les souris ont développé au fil des générations une capacité à associer une odeur inhabituelle à un danger potentiel. On parle ici de néophobie alimentaire : quand un aliment sent trop fort ou différemment de ce qu’elles connaissent, elles préfèrent s’en méfier… quitte à ne jamais y revenir.

Dans une logique de dératisation, cela explique pourquoi certains appâts ne fonctionnent pas : si le produit sent le poison ou un additif suspect, la souris n’y touchera pas, même si elle a faim. D’où l’importance de comprendre leur logique d’évitement avant de poser des pièges ou des mélanges alimentaires ciblés.

Les substances alimentaires qui peuvent les empoisonner

Quand on cherche à éliminer les souris de manière discrète, certains aliments peuvent servir d’alliés… à condition de savoir lesquels. Car non, toutes les substances potentiellement toxiques ne sont pas efficaces contre les rongeurs. Certaines ne font que les rendre malades, d’autres les repoussent sans effet durable. Et d’autres, bien ciblées, peuvent réellement les intoxiquer si elles sont bien utilisées.

Voici les aliments qui, selon les cas, peuvent intoxiquer une souris, ou au moins nuire à sa digestion :

  • Pépins de pomme, poire, abricot, cerise : contiennent une molécule (amygdaline) qui libère du cyanure dans l’organisme. À forte dose, c’est mortel pour un petit rongeur.
  • Avocat (surtout la peau et le noyau) : contient de la persine, un composé toxique pour beaucoup de petits animaux, notamment les souris.
  • Chou, poireau, ail, oignon crus : mal digérés, irritants, et parfois responsables de troubles digestifs sévères chez les rongeurs.
  • Agrumes (citron, orange, pamplemousse) : leur acidité peut perturber l’estomac, et leur odeur seule suffit à éloigner certaines souris.
  • Bonbons, biscuits, plats transformés : pas toxiques à proprement parler, mais bourrés de sucre ou de sel, ce qui perturbe le métabolisme des souris et peut nuire à leur survie sur le long terme.
  • Fromages bleus ou moisis : à l’inverse de ce que dit la légende, ils peuvent contenir des mycotoxines très nocives, surtout s’ils sont restés à l’air libre trop longtemps.
  • Produits laitiers (hors fromages frais) : très mal tolérés, souvent responsables de diarrhées. Une souris ne digère pas bien le lactose.

Les souris sauvages sont capables de détecter certains de ces aliments dangereux grâce à leur odorat très développé. Mais ce n’est pas une garantie. Quand elles ont faim ou qu’un aliment est trop appétant, elles peuvent prendre le risque… et s’empoisonner sans s’en rendre compte.

🟢 Certains appâts professionnels intègrent justement des extraits alimentaires gras ou sucrés pour masquer les substances toxiques : les souris se méfient naturellement des goûts amers ou métalliques, mais succombent plus facilement à une odeur d’arachide ou de céréale fermentée.

Recettes toxiques : pièges maison à éviter ou à manier avec prudence

Dans certaines régions rurales, il arrive encore que l’on tente d’empoisonner les souris avec des recettes maison. C’est une pratique ancienne, transmise de bouche à oreille. Mais dans les faits, la plupart de ces mélanges sont peu efficaces, voire franchement risqués – surtout quand il y a des enfants ou des animaux domestiques dans la maison.

Voici les plus répandues, avec leurs limites bien réelles :

  • Plâtre + farine + chocolat en poudre : censé durcir dans le ventre de la souris. Mais en pratique, il faut une dose précise et des conditions parfaites pour que cela fonctionne.
  • Bicarbonate de soude + sucre : cette méthode repose sur la création de gaz dans l’estomac. Peu convaincante dans la réalité, surtout si la souris grignote autre chose entre-temps.
  • Sel pur camouflé dans du pain ou du beurre : le sel peut provoquer un déséquilibre électrolytique… mais encore faut-il que la souris en mange suffisamment, ce qui est rarement le cas.

Ces astuces sont souvent tentantes parce qu’elles semblent simples. Mais elles échouent souvent pour une raison : la méfiance naturelle des souris envers les aliments nouveaux. Elles goûtent par petites touches, et si le goût ou l’odeur est suspect, elles s’arrêtent immédiatement.

🟠 Les souris sont capables d’associer un aliment à une sensation de malaise, parfois après une seule prise. On parle de “néophobie alimentaire” : un frein redoutable à l’efficacité des appâts faits maison.
Aliments qui font fuir la souris

Comportement alimentaire des souris : comment elles mangent au quotidien

Si une souris traverse votre cuisine à deux heures du matin, c’est rarement par hasard. Elle suit une routine bien rodée : repérage, aller-retour discret, grignotage rapide. Ce comportement n’est pas dû à la faim ponctuelle, mais à un rythme alimentaire particulier, dicté par un métabolisme rapide et un besoin constant de petites quantités de nourriture.

Des grignoteuses nocturnes au métabolisme accéléré

Les souris ne mangent pas comme nous, ni même comme d’autres animaux. Elles grignotent en continu, par petites bouchées, plusieurs dizaines de fois par nuit. Ce comportement est lié à un estomac minuscule et à une dépense énergétique élevée : pour maintenir leur température et leur activité, elles doivent consommer des calories en permanence.

Leur pic d’activité débute dès la tombée de la nuit, souvent entre 22h et 4h du matin. C’est à ce moment-là qu’elles explorent leur environnement, en suivant des trajets précis et répétitifs qu’elles ont mémorisés. On parle de « sentiers de déplacement » : elles longent les murs, passent derrière les meubles, se faufilent sous les portes. Elles avancent par courtes rafales, s’arrêtant pour flairer, écouter, puis repartir.

Le plus frappant, c’est leur discrétion : elles font très peu de bruit, ne laissent presque aucune trace visible sur le moment, et se déplacent souvent sans éveiller le moindre soupçon. Seules les miettes déplacées, les petits bruits de griffes sur le carrelage ou quelques crottes sur une étagère au matin trahissent leur passage. Une maison qui semble calme peut en réalité être visitée toutes les nuits par une ou plusieurs souris sans que personne ne s’en rende compte.

Enfin, les souris mangent en sécurité. Elles ne consomment pas directement sur la source alimentaire : elles prélèvent un morceau, le transportent jusqu’à un coin discret (isolant, doublage de mur, arrière de placard), et le mangent à l’abri. Ce comportement les rend difficiles à piéger ou à observer, et explique pourquoi on retrouve rarement les aliments entamés à découvert.

🔹 En moyenne, une souris revient grignoter jusqu’à 20 fois par nuit, en ingérant à chaque passage moins de 3 grammes d’aliments. Ce rythme fractionné rend leur présence difficile à détecter, mais leur impact s’accumule rapidement.

Un odorat et un goût bien développés

Les souris se dirigent vers la nourriture grâce à un odorat extrêmement affûté. Elles peuvent détecter des aliments à plusieurs mètres, même à travers un emballage, en repérant des odeurs grasses, sucrées ou fermentées. Dans une maison, cette capacité leur permet de localiser facilement un paquet de céréales mal fermé, un fond de pot de yaourt ou un morceau de biscuit oublié.

Mais elles ne mangent pas n’importe comment. Avant d’engloutir une nouvelle source de nourriture, elles en prélèvent d’abord une minuscule quantité, comme une forme de test. Ce comportement de prudence s’explique par une limite biologique : les souris sont incapables de vomir. Si elles ingèrent un poison, elles ne peuvent pas s’en débarrasser. C’est pour cette raison qu’elles sont méfiantes face aux aliments qu’elles ne connaissent pas – on parle de néophobie alimentaire légère.

Leur palais est aussi très sélectif. Les souris montrent une préférence marquée pour les aliments sucrés, gras ou riches en amidon, qui leur apportent rapidement de l’énergie. À l’inverse, elles évitent ce qui a un goût amer ou trop acide : agrumes, plantes amères, ou substances utilisées dans certains répulsifs naturels. Ce rejet instinctif leur permet d’écarter une partie des aliments potentiellement dangereux.

🎯 Leur odorat fait la différence : dans une pièce fermée, une souris peut sentir une odeur de gras ou de sucre à travers un emballage plastique. C’est souvent ce sens – bien plus que la vue – qui déclenche son exploration nocturne.

Cachettes et réserves : ce qu’elles accumulent près de leur nid

Les souris ont pour habitude de cacher une partie de leur nourriture dans des recoins discrets, souvent à proximité de leur nid. Ce comportement est surtout observé quand la nourriture est abondante, comme dans les greniers, les cloisons ou sous les planchers. Elles transportent les graines, croquettes, morceaux de pain ou même bonbons jusque dans ces cachettes, bouchée par bouchée.

Dans les murs ou derrière les meubles, on retrouve régulièrement de petits amas bien rangés, parfois découverts uniquement lors d’un démontage ou d’un chantier. Une souris peut ainsi stocker plusieurs dizaines de graines dans un espace réduit, à l’abri des regards. C’est une forme de sécurité alimentaire : elle prévoit des réserves pour les moments où les déplacements deviennent risqués ou les ressources plus rares.

Ces cachettes se trouvent généralement autour du nid de souris, parfois même intégrées à celui-ci. On peut ainsi retrouver sous les matériaux d’un nid – papiers déchiquetés, tissus – des restes de nourriture entassés. C’est un comportement qui illustre leur sens de l’anticipation : elles ne se contentent pas de manger sur place, elles organisent.

🔎 On retrouve souvent des cachettes pleines sous un parquet ou dans un mur creux : croquettes de chien, coquilles de graines, morceaux de pain dur… autant d’indices révélateurs d’une présence active de souris, même en l’absence de bruits nocturnes.

Cachettes et réserves : ce qu’elles accumulent près de leur nid

Les souris ne consomment pas toujours leur nourriture sur place. Dès qu’elles trouvent un excédent, elles le transportent discrètement jusque dans leurs cachettes favorites, souvent situées près de leur nid : derrière un meuble, dans une cloison creuse, sous un parquet ou à l’intérieur d’un carton. Elles agissent de manière rapide et précise, en ramenant les morceaux un par un, parfois pendant plusieurs nuits de suite.

Ce comportement prévoyant leur permet de constituer de véritables réserves alimentaires, surtout dans les lieux où la nourriture est facile d’accès. On retrouve régulièrement dans ces planques des graines, des pâtes sèches, des croquettes, voire même des bonbons entamés ou du pain sec. Ces amas sont souvent bien rangés, parfois cachés sous les matériaux du nid lui-même (papier, tissu, isolant).

Le fait de stocker leur nourriture n’est pas un hasard : cela limite les déplacements risqués et permet aux souris de manger sans sortir du nid en cas de danger. C’est un réflexe de survie, mais aussi une stratégie de confort. Même dans un appartement chauffé, elles conservent ce réflexe d’animal sauvage. Et tant qu’on ne démonte pas les lieux, ces caches peuvent passer totalement inaperçues.

Adaptation en cas de pénurie : quand les souris mangent l’impossible pour survivre

Lorsqu’elles manquent de nourriture sur une longue période, les souris modifient radicalement leur comportement alimentaire. Ce n’est pas fréquent en zone urbaine, mais dans les combles, les murs, ou les bâtiments abandonnés, il arrive qu’elles soient coupées de leurs sources habituelles. Dans ces cas-là, leur instinct de survie prend le dessus, et elles deviennent capables de digérer des matériaux inattendus.

Pour survivre, elles peuvent commencer à ronger du carton, du papier, de la cire de bougie, ou même des bâtons de colle. Tous ces matériaux contiennent une petite part de matière végétale, de sucre ou de graisse, ce qui suffit à leur fournir un minimum d’énergie. Même si ces aliments sont très pauvres, elles les exploitent jusqu’à la dernière miette.

Dans les cas extrêmes, notamment en cas de surpopulation ou de nid isolé sans accès régulier à la nourriture, certaines souris finissent par se retourner contre les plus faibles. Les cas de cannibalisme existent, surtout envers les bébés ou les congénères blessés. C’est un comportement rare, mais bien documenté sur le terrain, notamment dans les zones rurales ou industrielles très confinées.

Ce type d’adaptation prouve une chose : la souris est un animal incroyablement résilient. Même dans les pires conditions, elle trouve de quoi survivre, quitte à ronger ce qui lui passe sous les dents, ou à réduire son propre groupe. C’est aussi pour cela qu’il est difficile de s’en débarrasser sans un traitement rigoureux.

Comment utiliser les habitudes alimentaires des souris pour mieux les repousser ?

Connaître en détail ce que mangent les souris, ce qu’elles préfèrent, ce qu’elles fuient, et comment elles se nourrissent au quotidien permet de mieux anticiper leur présence. Mais surtout, cela permet d’adapter son environnement pour les tenir à distance, éviter de les attirer et renforcer l’efficacité des mesures de lutte. Voici comment exploiter leurs faiblesses pour reprendre le contrôle.

Ne pas leur faciliter l’accès à la nourriture : erreurs classiques à éviter

Les souris ne viennent jamais “par hasard”. Si elles s’installent chez vous, c’est qu’elles y trouvent de quoi manger facilement, parfois sans même que vous ne vous en rendiez compte. Le problème, c’est qu’elles ont besoin de très peu pour survivre : une miette oubliée, un fond de paquet mal refermé, ou quelques croquettes tombées sous une étagère leur suffisent.

Chez beaucoup de particuliers qu’on accompagne, ce sont souvent les mêmes erreurs qui se répètent :

  • Les pâtes, riz, céréales sont rangés dans leur emballage d’origine, sans boîte hermétique.
  • Des fruits trop mûrs traînent dans une corbeille sur la table ou dans la cuisine.
  • Les aliments pour chien ou chat sont laissés toute la nuit dans la gamelle, accessibles aux souris.
  • Le sac poubelle déborde ou n’est pas vidé chaque soir, notamment en cas de restes alimentaires.
  • On oublie de nettoyer sous les meubles, là où tombent les graines, miettes et croquettes invisibles.

Une souris peut détecter une source de nourriture sur plusieurs mètres. Elle explore les lieux en silence, de nuit, et revient chaque fois qu’elle trouve quelque chose. Si rien ne traîne, elle finit par partir. Sinon, elle alerte ses congénères… et le cycle démarre.

Première barrière contre l’infestation : verrouillez l’accès à tout aliment, même minime. C’est la base d’un environnement hostile aux rongeurs.

Créer une ambiance alimentaire répulsive : odeurs, choix des déchets, nettoyages ciblés

Si les souris sont attirées par les odeurs grasses et sucrées, l’inverse est tout aussi vrai : certaines ambiances olfactives les rebutent. L’objectif ici est simple : rendre chaque pièce moins “appétente” à leurs yeux. Il ne s’agit pas de masquer les odeurs, mais de jouer sur ce qu’elles perçoivent comme désagréable ou suspect.

En pratique, plusieurs gestes peuvent faire la différence :

  • Placez régulièrement dans les coins sensibles des essuie-tout imbibés d’huiles essentielles répulsives (menthe poivrée, eucalyptus, citronnelle), sans saturation.
  • Évitez de jeter dans la poubelle classique des déchets riches en graisse ou très sucrés comme les restes de viande, gâteaux ou plats en sauce. Emballez-les séparément et sortez-les le soir même.
  • Nettoyez les zones de préparation et cuisson avec du vinaigre blanc ou du bicarbonate pour neutraliser les odeurs alimentaires persistantes.
  • Concentrez vos efforts de nettoyage sur les plinthes, arrières de meubles, zones chaudes et sèches comme derrière le frigo ou sous le four, souvent négligées mais stratégiques.

Une maison qui sent le frais et dans laquelle aucune trace de nourriture n’est accessible envoie un signal clair aux souris : circulez, il n’y a rien à grignoter. Ce travail de fond peut sembler discret, mais il est crucial pour renforcer les effets des pièges ou traitements.

Piéger efficacement grâce à leurs préférences gustatives

Une souris ne se jette pas sur n’importe quel appât. Elle a un nez très fin, une nette attirance pour le sucré et les aliments riches en matières grasses. Pour maximiser l’efficacité d’un piège à souris, il ne suffit pas de poser un bout de fromage. Ce vieux cliché est souvent inefficace, surtout face à des souris déjà méfiantes ou qui ont accès à mieux ailleurs.

En revanche, certains aliments font l’unanimité : le beurre de cacahuète reste l’un des plus efficaces, grâce à son odeur puissante et sa consistance qui force la souris à s’attarder sur le piège. On peut aussi utiliser un morceau de barre céréalière, un fruit sec légèrement écrasé, voire une croquette de chat. L’idéal est de tester en amont ce qui semble plaire aux rongeurs chez soi en observant les restes grignotés, pour adapter l’appât au piège.

Un autre point essentiel : ne jamais trop en mettre. Un appât trop gros permet parfois à la souris de le voler sans déclencher le mécanisme. Il faut que le morceau soit minuscule et collant si possible, pour que la souris soit obligée de tirer dessus ou de rester quelques secondes sur le piège.

Exploiter leur méfiance naturelle pour poser les appâts au bon moment

Les souris ne sont pas téméraires : elles sont même naturellement méfiantes face à la nouveauté. C’est ce qu’on appelle la néophobie alimentaire. Si vous placez un piège à souris dans un endroit qu’elles fréquentent, elles ne vont pas forcément s’en approcher dès la première nuit, surtout s’il est tout juste sorti de l’emballage ou qu’il sent trop le plastique neuf.

Pour contrer cette prudence, il est conseillé de laisser le piège vide ou désarmé pendant un jour ou deux, avec juste l’appât au centre. Cela permet à la souris de prendre confiance et de s’habituer à sa présence. Ensuite, une fois qu’elle l’a visité sans danger, vous pouvez enclencher le piège.

Cette méthode fonctionne particulièrement bien dans les endroits où les souris ont été déjà piégées une première fois : les survivantes deviennent plus méfiantes, surtout si un congénère a disparu. Poser les appâts au bon moment, dans les bons lieux, avec une stratégie progressive, est souvent plus efficace que multiplier les pièges à la va-vite.

Si les souris trouvent à manger chez vous, elles ne partiront pas d’elles-mêmes

Vous avez beau nettoyer, ranger, fermer les paquets… le moindre accès à de la nourriture suffit à maintenir les souris sur place. Et plus elles mangent, plus elles restent, plus elles se reproduisent. Dans ces cas-là, il ne s’agit plus seulement de cacher les aliments ou de poser un piège : c’est leur stratégie d’occupation qu’il faut interrompre.

C’est là qu’une entreprise de dératisation agréée comme Solution Nuisible fait la différence. Nos techniciens connaissent les points d’entrée, les routines alimentaires et les réserves invisibles que les souris utilisent pour survivre en intérieur. Ce qu’on applique, ce ne sont pas des recettes maison, mais la méthode radicale quand tout le reste échoue – la vraie solution du diable pour les faire fuir définitivement.

Appelez-nous directement au 06 22 35 16 29 (appel non surtaxé), ou demandez un rappel gratuit à l’horaire qui vous convient. Chaque jour perdu, c’est une souris de plus qui s’installe.

? Questions – Réponses (FAQ)

Est-ce qu’une souris mord ?

Oui, une souris peut mordre, mais ce comportement reste rare et contextuel. La morsure d’une souris intervient surtout lorsqu’elle se sent coincée, attrapée ou menacée, par exemple dans un piège ou lors d’un contact direct avec un humain ou un autre animal. Elle peut aussi mordre un congénère affaibli, voire un souriceau, en cas de stress ou de manque de nourriture. Les souris ne mordent pas spontanément les humains pendant leur sommeil, contrairement à certaines idées reçues.

Combien de temps une souris peut-elle vivre sans boire ?

Une souris peut vivre environ 2 à 4 jours sans accès à une source d’eau directe, mais cette durée dépend de l’humidité présente dans les aliments qu’elle consomme. Si elle n’a ni eau libre ni aliment hydraté (fruit, compote, légume), la souris meurt rapidement de déshydratation. Son besoin en eau est vital et prioritaire : même un court manque l’affaiblit fortement.

Une souris peut-elle survivre sans nourriture pendant plusieurs jours ?

Oui, une souris peut survivre sans manger pendant 5 à 7 jours maximum, si elle continue à boire. Mais à cause de son métabolisme rapide et de ses besoins énergétiques constants, une souris privée de nourriture plus de 2 ou 3 jours entre déjà en état de stress physiologique. En revanche, si elle est aussi privée d’eau, elle ne dépasse généralement pas 48 à 72 heures.

Combien d’eau boit une souris par jour ?

En moyenne, une souris adulte boit entre 4 et 7 millilitres d’eau par jour. Cette quantité varie selon la température, l’humidité ambiante et le type d’aliments qu’elle trouve. Les souris urbaines récupèrent souvent leur eau dans des aliments humides ou des fuites d’évier, mais elles ont besoin d’un apport quotidien, même minime, pour survivre.

Est-ce que les souris mangent tous les jours ?

Oui. Les souris doivent manger tous les jours pour survivre. Elles ont un estomac très petit et un métabolisme rapide, ce qui les pousse à prendre jusqu’à 15 à 20 mini-repas par nuit. Une absence d’aliment pendant seulement 24 heures peut déjà provoquer un état de faiblesse. Même si la quantité totale ingérée est faible, le rythme alimentaire des souris est constant et fractionné.

Les souris préfèrent-elles le sucré ou le salé ?

Les souris préfèrent largement le sucré. Elles sont naturellement attirées par les aliments riches en glucides : céréales, chocolat, fruits secs, biscuits, pâte à tartiner, etc. Le goût sucré stimule fortement leur recherche alimentaire, contrairement aux aliments très salés ou acides qu’elles évitent souvent. C’est ce qui explique leur attirance pour les produits transformés et les restes sucrés dans les poubelles ou les cuisines.

Une souris revient-elle toujours au même point de nourriture ?

Oui. Les souris mémorisent précisément les lieux où elles trouvent à manger. Si la source reste disponible et accessible, elles y reviennent chaque nuit, suivant des trajets très réguliers. Cette mémoire spatiale leur permet de repasser par les mêmes fentes, recoins et placards pour se nourrir sans se faire remarquer. C’est ce qui explique pourquoi les traces de grignotage ou de crottes apparaissent toujours au même endroit.

Les souris mangent-elles les mêmes choses que les rats ?

Non, l’alimentation des rats est plus variée et plus large que celle des souris. Les souris privilégient les petites graines, les céréales sucrées, les biscuits et les aliments secs faciles à transporter. L’alimentation des rats inclut aussi des déchets carnés, des œufs, des restes fermentés ou moisis, car leur mâchoire est plus puissante et leur appétit plus important. Un rat peut fouiller une poubelle entière ou ouvrir un sac de provisions, là où une souris se contente de miettes discrètes.

Est-ce qu’une souris peut se nourrir dans les murs ?

Oui. Les souris stockent souvent de la nourriture dans des cachettes situées à l’intérieur des murs, cloisons, faux plafonds ou planchers. Elles transportent des croquettes, graines, morceaux de pain ou sucreries jusque dans ces recoins, où elles les consomment en sécurité. Ce comportement discret permet à une souris de vivre des semaines sans jamais être vue, tout en continuant à se nourrir dans la structure même du logement.

Est-ce qu’une souris peut attaquer un hamster ?

Oui, dans certains cas. Si une souris sauvage entre dans une cage ou un espace partagé avec un hamster, elle peut le mordre, surtout si elle cherche à voler sa nourriture. Cela arrive surtout si le hamster est blessé, âgé, ou immobile. Les souris peuvent adopter un comportement territorial ou agressif en milieu confiné. Il est fortement déconseillé de laisser un hamster sans protection dans un environnement infesté de souris.

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    julien emard Avatar julien emard
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